Ou, les deux Pieds-Nickels, Jean-Luc Einaudi, et Didier Daeninckx.
- A la question,
le menteur communiste Jean-Luc Einaudi est-il le révélateur de l'assassinat de la jeune Fatima Bedar, par la police du préfet Papon :
- Ce n'est pas, Jean-Luc Einaudi et son bouffon, qui ont mis en avant le suicide de la jeune Fatima Bedar, transformé en meurtre,
par un des responsables de la Ligue des droits de l'Homme, j'ai cité Michel Levine.
- Quelle est la chronologie de cette lamentable histoire.
Michel Levine Les Ratonnades d'Octobre 1985.

- Quelle est la réalité de la création de cette légende.
- Bien sûr, nous avons dès novembre 1961, l’inévitable menteur Maspero, et son récit anonyme,
« Ratonnades à Paris» ", Cahiers Libres N° 29, sur le massacre du 17 octobre 1961, mais aucune trace de la jeune Fatima Bedar.
- Il nous faudra attendre Octobre 1973,
pour avoir un article dans Historia, La Guerre d'Algérie, signé par Denis Baldensperger, le titre : « Le sang coule à Paris. »
- Dans cet article, nous avons le passage
au commissariat du Val de Grace, concernant une gamine et sa mère, « Ratonnées » par des policiers, pro Algérie Française.
- Un dialogue digne de Michel Audiard.
- L'auteur, Denis Baldensperger laisse supposer, que la gamine a disparu.
- M. Denis Baldensperger avait le choix :
- Il pouvait lire « Témoignages Chrétiens », « Droit et Liberté », « La Défense »,
ou, le journal Libration du 28 octobre 1961, pour recopier, mot pour mot, son récit sur la jeune disparu.
- En Novembre 1973, toujours dans Historia Guerre d'Algérie,
Denis Baldensperger, nous narre « Charonne », sanglant affrontement, et son passage sur l’entrée du métro.
« C'est aussitôt, la confusion, l'entassement : quinze couches humaines.....
Pour comble de malheur, un groupe de policiers, ils sont une trentaine, ils cernent l'entrée et frappent à coups redoublés
ceux qui cherchent un refuge.
Ici, tous les témoignages concordent : André Acquier, secrétaire syndical CFTC chez Thomson,
il a vu les tas humains et les policiers jetant des pièces de fonte..... »
- Ce mélange du 17 octobre 61, et des morts du Metro Charonne, ne date pas de 1973.
- Il figure dans le journal Combat du 9 février 1962, dans le témoignage du Syndicaliste communiste André Acquier.
- Puis, le 15 février dans un article dans l'Express, il précisera que c'est une trentaine d'hommes, les mêmes policiers qui avaient assassinés
et jetaient dans la Seine plusieurs centaines d'Algériens, qui avaient, assassinés les neuf martyres du métro Charonne.
- Et pour agglomérer, encore plus ces deux évènements, la revue La Défense, Organe de la Section française du Secours rouge international,
N° 448 de Février 1962, ajoutera à liste des neuf victimes de Charonne, un nom à consonance musulmane victime de ces mêmes policiers.
- Elle inventera l'histoire de Aïd Saada,
chef de station du métro, restait dans le coma pendant plus de six mois, et qui ira en convalescence en RDA.