Le 17 Octobre 1961. - Les guignols du massacre du 17 octobre 1961.
- Juillet 1961
- Le 21 juillet, l'Agence France-Presse, nous indique qu'une nette recrudescence des attentats commis par des Algériens a été enregistrée
en Métropole en 1961, surtout en région parisienne depuis le début de l'année.
- Mais depuis les 30 derniers jours, presque plus aucun attentat.
- Elle précise qu'il y a eu de nombreuses arrestations.
- Le bilan au 20 juillet 1961 est le suivant : 417 morts dont 24 civils européens et 11 policiers.
- Le 25 juillet La brigade des agressions et violences, aidée par la police auxiliaire, découvrent dans deux garages de la région parisienne,
à Thiais et Vitry, de nombreuses armes.
- Le 28 juillet, découverte à Malakoff d'une imprimerie clandestine servant au FLN.
- Le 30 juillet, suite de la campagne de presse du FLN en France,
M. Maspero, encore lui, publie dans son cahier libre N° 23, un dossier présenté par Paulette Peju, « Les Harkis à Paris ».
- Le 21 juillet, l'Agence France-Presse, nous indique qu'une nette recrudescence des attentats commis par des Algériens a été enregistrée
- Juillet 1961
- Aout 1961.
- Il est incontestable, qu'en juillet et jusqu'au 15 Août 1961, la région parisienne n'a pas connu d'attentat FLN, un seul en deux mois.
- Une sorte de pose, des attentats contre la police a eu lieu,
il faut dire qu'au mois de juin, le FLN de la région parisienne avait vu ses stocks d'armes découvert les uns après les autres.
-
Mais à partir du 15 Août, c'est essentiellement la police qui est visée, par des attentats individuels.
- Une sorte de pose, des attentats contre la police a eu lieu,
-
Le 15 Août, assassinat du policier auxiliaire Lazhar E., mort par strangulation.
-
Mohamed X, son informateur est abattu.
-
Mohamed X, son informateur est abattu.
-
Le 16 Aout assassinat du policier auxiliaire Amar B, mort par strangulation.
-
Le 17 Aout assassinats de deux policiers auxiliaires retrouvés abandonnés sur une départementale. MM. Ensighaoui et Berani.
-
Le 29 Août, cinq attentats contre les forces de l'ordre en région parisienne.
- Brusquement, alors que depuis le 15 Août, tous les attentats étaient dirigés contre la police auxiliaire,
changement de méthode du FLN, c'est la police et les gendarmes qui sont aussi visés.
- Bezons : deux algériens tirent sur un gendarme, qui s'en sort par miracle.
- Petit-Colombes : Un gendarme est abattu de 4 balles de 9 mm dans le dos.
- Saint-Denis, à l'angle de la rue du Lendit et de la rue des Orteaux, un officier de police est abattu devant son domicile.
- Ses collègues qui l'attendaient dans la voiture, s'élancent à la poursuite des tueurs.
Ils ouvrent le feu et abattent Smaël Drissou, vingt-six ans, « locataire » dans un hôtel, rue du Lendit.
- Ses collègues qui l'attendaient dans la voiture, s'élancent à la poursuite des tueurs.
- Paris, rue Beaubourg. Deux policiers victimes de coups de feu d'Algériens, un blessé.
- Bezons : deux algériens tirent sur un gendarme, qui s'en sort par miracle.
-
Tout au long de ce mois, la BAV et les Harkis, ont arrêté un certains de membres du FLN, tous conduis à Vincennes.
- Brusquement, alors que depuis le 15 Août, tous les attentats étaient dirigés contre la police auxiliaire,
- Il est incontestable, qu'en juillet et jusqu'au 15 Août 1961, la région parisienne n'a pas connu d'attentat FLN, un seul en deux mois.
- On pourrait imaginer,
- Que le 31 Août 1961, le procureur général de Paris. M. Aydalot, transmette un rapport au garde sceaux, où, il y aurait eu écrit :
- « Je crois devoir attirer votre attention, à la fois sur l’importance des chiffres qui se dégagent des états joints et
sur la similitude des procédés d’exécution : étranglement, strangulation, fréquemment ligotage des corps et généralement immersion….
Le nombre des attentats criminels commis à Paris contre les forces de police vient d’augmenter depuis le 15/9/1961 dans
des conditions telles que je crois devoir vous les signaler…
Cette situation m’a incité à requérir l’ouverture d’une information dans chacune des affaires …. »
- Que le 31 Août 1961, le procureur général de Paris. M. Aydalot, transmette un rapport au garde sceaux, où, il y aurait eu écrit :
- On peut toujours rêver ……
Paris-presse L'Intransigeant Mardi 25 Juillet 1961.
Assassinat de deux militants du MNA par le FLN sur un pont de Paris 1957.
- Le 4 Septembre, le Monde titrait : Oran , Malade de la peste.
-
Citant Albert Camus,
le journaliste Eugene Mannoni, met en parallèle, les écrits d’ Albert Camus et les attentats, suivit du lynchage des auteurs à Oran.
-
Citant Albert Camus,
-
En région parisienne, à Romainville, cinq membres du FLN, attaque à la grenade et à la mitraillette un café fréquentés par les Harkis, trois blessés.
-
Suite à cette reprise des agressions contre les force de l'ordre, la Préfecture communique :
- Mais, l’histoire n’est pas fini,
car les Nord-Africains, vivants en France, depuis plus de 60 ans, demande l’inculpation, pour crime d’état, de l’ancien Premier Ministre Michel Debré,
et, bien entendu, du président de l’époque, le général De Gaulle.
- Donc, depuis presque cinquante ans, les socialistes nous expliquent,
que tous les corps de FMA entrés à l’I.M.L. en 1958, 1959, 1960, 1961, 1962, et encore en 1963, sont des victimes de la police du préfet Maurice Papon.
- « Les algériens pris dans les rafles après un attentat contre des policiers seront renvoyés en Algérie,
s'ils se trouvent en situation irrégulière »
JE VOUS AI COMPRIS !!!!..
- Mais, l’histoire n’est pas fini,