- Qui a tué Maître Amokrane Ould Aoudia, avocat Kabyle, …..Le F.L.N. ou, … Le M.N.A.
»
- Le Jeudi 7 janvier 1960, fête de Sainte Mélanie,
disciple de Saint Augustin, évêque d'Hippone, près de Bône, où il vécut de 391 à 430, il était né à Souk-Abnu en 354.
- A l'audience de la 17° chambre correctionnelle de la Seine,
Moussa Khebaili affirme publiquement connaitre le nom de l'assassin, de Maître Amokrane Ould Aouida !!!!!I
- Suite à cette révélation, il sera entendu le samedi 9 janvier 1960, par le juge d'instruction.
- Note :
Pour les Pieds Nickelés, je rappelle que M. Moussa Khebaili, a été arrêté, le 6 décembre 1958, avec deux autres complices
du F.L.N. M. Mustapha Francis, et surtout M. Boumaza Bachir.
Extrait des révélations de Moussa Khebaili le 7 janvier 1960, fête de Sainte Mélanie, .

- Le mercredi 8 mars 1960,
devant la Cour d'Appel, Moussa Khebaili maintient que l'assassin de Maître Amokrane Ould Aouida, serait un policier.
- Mais il déclare réserver ses preuves !!!!!
- La Main Rouge ou le SCEDE
- On peut sans trop se tromper, écrire que cette histoire, de la mort d'Amokrane, par « La Main Rouge », ou, par « LE SCEDE »,
commence en février 1959, lors du procès des tueurs, ayant tenté d'assassiner le ministre Jacques Soustelle, le 15 septembre 1958.
- La sentence fut rendue le samedi 8 février 1959, le verdict :
- Deux condamnés à mort : Mouloud Ouraghi et Abdelafik Cherouk.
-
Un condamné aux travaux forcés à perpétuité, M. Adour.
- Les trois derniers, MM. Baccouche, Benzerouk et Laouari, à un an de prison et une amende de 100.000 francs.
- Durant ce procès, déjà, les trois principaux avocats, maitres Verges, Benabdallah, et Oussedik, avaient déclaré qu'ils avaient été menacés.
- Propos, qui avait provoqués
la réaction du procureur Hennemin, et du Président Olmi, qui avaient déclaré qu'eux aussi avaient reçus des menaces.
- Cet attentat a fait quatre victimes :
- Un mort, M. Pacaut, vingt-cinq ans, demeurant à Issy-les-Moulineaux, et trois blessés.
-
Il y eu plusieurs incidents durant ce procès, le premier lors du témoignage de M. Georges Mattei, « ancien rappelé » d'Algérie,
qui parla « des sévices et des massacres », commis par l'armée français.
- En juillet 1957, Les Temps Modernes, de Jean-Paul Sartre, publiés un article de M. Georges Mattei.
- Le titre : Jours tranquilles en Kabylie.
- Juste une phrase, du Menteur Anticolonialiste :
« Ifigha, 16 juillet 1956, à 7 heures, je prenais un thé à la menthe au café maure du village. »
- Nous reviendrons sur ce gros bobard dans une autre page.