portait le nom de Landjerit M’hamed, mais qui deviendra rue Achour, quelques temps plus tard.
décoré de la médaille de bronze de la famille française, qui à la date du 7 septembre 1934, était le père de six enfants.
et son aide de camp du CNRS, auraient dû vérifier un tant soit peu, cette histoire de disparu, pendant la bataille d'Alger.
« J’ai l’honneur de vous faire savoir que mon mari Monsieur M’Hamed Landjerit, né à Miliana le 27 janvier 1907,
et, commerçant en cuivre nickeler en face du Marabout de Sidi, M’hamed à Alger a été arrêté en son domicile, 4 rue Millet à Alger,
par les paras verts, et la police du 12 arrondissement à 5 heures du matin.
Il a été emmené à la villa Susini……. »
se situant au 151, rue de Lyon, et abritant sept baux commerciaux, dont trois nous sont connues au début des années 1947.
et, qui passera entre les mains, de M. Ferrandez Antoine, qui avait un autre « magasin », à Kouba, rue de Galland.
le bâtiment du 151 rue de Lyon, avec son terrain de 399 mètres carrés, pour la modique somme de 1 million de francs.
avec la création de deux rues supplémentaires pour donner accès au second immeuble.
avec en son milieu une partie aboutissant dans le boulevard Thiers, juste en face de la rue de l'Yser.
a une séparation du couple, Où, alors à un déménagement, dans un autre département, ou à un départ vers un autre pays.
et, de la publicité pour vanter la fabrication de ses articles indigènes en cuivre.
Leçons de piano en arabe pour débutants de 16h à 18 h.
S’adresser à Madame HAFSIA, 4, rue Millet à Alger.
par M. Rampon Albert, N° 4683.
mort le 8 octobre 1957, dans la Casbah, rue des Abdérames.
car celui qui nous narre l’histoire du chahid Amara Ali, en 2010, se nomme Mohammed Landjerit et demeure à Miliana.
laissé aux mains du FLN, le 5 juillet 1962, par le gouvernement du brillant libérateur de la France de 1940,
il est pratiquement impossible d’affirmer que: M. Landjerit Mohamed, a disparu en 1957