ALGERIE - 1954 - 1962




 

 Catégorie voyage     Le   général   de   Bollardière,     le   chevalier   blanc.

 


On peut remercier, le général de Bollardière, le colonel Barberot, Pierre Lemarchand
et Jean-Jacques Servan-Schreiber, pour cette brillante réussite.


Bollardière,Barberot,Lemarchand, Jean-Jacques Servan-Schreiber s Octobre 1956  Menteurs

 
  • On peut après la lecture de ce témoignage,
    déclarer que le seul but de l’encadrement de la 531e DBFA, était le retour au pouvoir de De Gaulle, et rien d’autre.
     
  • Revenons sur le témoignage de Pierre Lemarchand, concernant sa fin d'activité,
    il déclare que c'est suite à la morts de neuf Zouaves, les mêmes que ceux de Massu, qu'il serait revenu en France.
     
  • M. Pierre Lemarchand n'est pas à un mensonge près.
     
      • Cette histoire, c'est le bouclage de Bab-el-oued,
        le vendredi du 23 Mars 1962, et la mort de cinq jeunes militaires du Train, et de deux anciens repentis de l'ALN.
         
      • Ce n'était pas un patrouille, mais un convoi de deux camions, le chauffeur du deuxième camion, qui avait mois de 45 jours de présence
        en Algérie, ne connaissait pas le quartier, suite à une erreur, il emprunta la rue Gustave Mercier, rue à sens unique, avec des voitures garées
        sur un côté de la rue, elle ne permettait aucune manœuvre.
         
      • Au bout de la rue Gustave Mercier le chauffeur n’a qu’une seule option, tourné à droite dans la rue Suffren.
        Le camion ralenti et prend doucement ce virage à angle droit, il Il est dans la rue Suffren au pied des escaliers donnant dans la rue Mizon.
        Il descend le début de la rue, traverse la rue Vasco de Gama.
         
      • Un membre du commando fait signe au chauffeur de stopper, le chauffeur freine, une quinzaine d’homme armés surgissent.
         
      • Vos armes crient le chef du commando, les premiers militaires situaient en tête de camion et à droite obtempèrent.
         
      • Mais sur le côté gauche du camion,
        à l’avant dernière place, armé d’un pistolet mitrailleur de type MAT 49, un militaire arabe arme son PM, il n’a pas le temps de tirer.
         
      • C'était des jeunes militaires qui n’avaient pas fini leurs classes.

         
  • Voilà, Pierre Lemarchand se sert de cette histoire pour montrer que les Pied-Noir auraient tirés sur les Zouaves, ceux de Massu.
     
  • Encore un bobard, un de plus.

     
  • Cette commission composées uniquement de socialistes et de communistes,
    ouvraient la boite de pandore, et le déchainement des anticolonialistes sur la repentance perpétuelle, qui amènera
    nos deux derniers présidents Hollande et Macro à demander pardon au nom de la France.
     
    • J'aurais aimé que cette commission composée de socialistes et de communistes, demande à M. Pierre Lemarchand,
      des précisions sur le fameux tireur au FM Browning Automatic Rifle (BAR) M1918A2, posté sur un balcon, le 26 mars 1962, et mis hors de combat,
      par les hommes du Lieutenant Saint Gall de Pons, dans la rue Changarnier, à l'angle de la rue Alfred Lelluch, juste en face de la rue de Chanzy.
       
    • Mais cela, on ne le saura jamais.

       
  • Epilogue.

     
      • Tout au long de ces quatre pages, on a pu découvrir, que le chevalier Blanc, le général Jacques Pâris de Bollardière, n’était pas aussi blanc que çà.
         
      • Sa démission n’est en aucun cas, lier à la torture, mais bien aux désaveux du Secrétaire d’état à la guerre, Max Lejeune, il a profité de la campagne
        de presse sur la torture, qui je tiens à le rappeler avait commencé dès la fin 1955, donc bien avant l’arrivée des parachutistes dans Alger.


  • Seule et unique représentation d’un défilé de mode des Commandos Noirs Octobre 1956.

    défilé de mode des Commandos Noirs Octobre 1956 Robert Lacoste, Jean-Jacques Servan-Schreiber.  Menteurs