ALGERIE - 1954 - 1962




 

 Catégorie voyage     Pucheu       Jacques

 
  • Le deuxième grand paragraphe du récit de Jacques Pucheu porte le titre suivant :
     
    • Biskra (Juin à Octobre 1956)

       
          « Un soir, en rentrant du cinéma, le lendemain de notre arrivée à Biskra,
            je passe devant une ruelle à laquelle des tirailleurs sénégalais tentent de mettre le feu.
            L'un tient encore son coupe-coupe sanglant à la main.
            A terre un cadavre d'Algérien atrocement mutilé....

            Au mois de juillet, alors que nous étions absents de Biskra, notre compagnie fut rappelée précipitamment.
            A notre arrivée, la place du marché de Biskra brulait encore.

            Voici ce qui s'était passé :
           
            une patrouille en jeep avait reçu, à l'intérieur de Biskra, une rafale de fusil-mitrailleur.
            Un tirailleur sénégalais, caporal-chef de la patrouille, fut tué...... »


             
    • Puis, le Menteur Pucheu, nous annonce la mort en deux temps, de 35 civils, puis, de 325 autres, bien sur, tous musulmans.
       
  • C'est tout, pour ces quatre mois passés à Biskra, la perle du desert, étranges, pas un mot sur la ville.
     
      • Donc, d'après le récit de Pucheu, les massacres à Biskra, ont eu lieu en Juin, et en Juillet 1956.

         
  • Avant de démontrer que Pucheu est un grand menteur,
    et, qu'il n'a jamais mis les pieds à Biskra, revenons sur ce mythe du massacre par les Sénégalais de 360 musulmans de Biskra.
     
    • Pour bien comprendre la chronologie de ce mythe, qui débute avec le récit de Jacques Pucheu,
      et, se termine en 2004, par la création d'un monument aux morts à Biskra, revenons sur les événements de l'année 1956 :
       
      • Au Maroc, le 7 Mai 1956, à 50 Kms au Nord de Taza, une section
        du 3e Régiment de tirailleurs Sénégalais, commandée par un sous-officier français, est massacrée par des assaillants, venus des douars.
         
          • Seize morts dont le sous-officier, mutilés, pendus, seuls, neuf sénégalais ont pu rejoindre la grande route.
             
      • Le 9 Mai 1956, à l'Assemblée Nationale,
        M. Jean-Louis Tixier-Vignancour, relate ce massacre, et, s'étonne d'un ordre de Paris, qui a arrêté la recherche des assassins.
         
      • Je passerai sur la polémique de ce débat ... (J.O. 9 Mai 1956 Page 1821).


  • Echo d'Alger du 8 Mai 1956.

    Algérie 1956 Echo Alger Attentats.


     
  • Continuons la chronologie : :
     
    • Lundi 7 Mai 1956 :
       
      • Au Maroc, à 50 Kms au Nord de Taza, des Tirailleurs Sénégalais, du 3e R.T.S. sont massacrés, mutilés, pendus.
      • Le massacre de huit anciens goumiers près de Mekla, enlevés et égorgés.
      • La mise à mort, M. Ouhab Larid, membre du MNA, abattu par le FLN, dans la casbah d’Alger, rue de la Porte-Neuve.
         
    • Le 26 Mai, près de Biskra, massacre de 12 français, travaillant sur la construction de la route Biskra - Touggourt, dont une femme.
      Je tiens à la disposition des Pieds Nickelés, spécialistes du copier/coller,  la liste des douze victimes.
       
    • Le 28 Juillet 1956, une patrouille de Tirailleurs Sénégalais, essuie des coups de feu dans Biskra, riposte des tirailleurs, trois blessés.
       
    • Le 27 Septembre 1956, les deux bandes rebelles, de Mohamed Ben Boulaïd, et du déserteur Lahoussine,
      sont anéanties par le 7e RTA, sous le commandement du Colonel Arfouilloux, près de Mac-Mahon.
       
  • Examinons maintenant les écrits :
     
    • Le Samedi 29 Septembre 1956,
      L'Echo d'Alger, publiait le récit de l’anéantissement de deux bandes rebelles dans le Djebel Groun.
      Le colonel Arfouilloux donnait les précisions suivantes :
       
        • Le Jeudi 27 Septembre 1956, une bande rebelle est signalée.
        • Participent à ce bouclage : le 7e RTA, un escadron du 9e RCA, un bataillon mixte composés de Légionnaires et de rappelés du 94e RI.
        • Le djebel est fouillait par le 7e RTA, le 9e RCP et le 24e RIC.
        • A 16h30 tout est terminé. 108 rebelles abattus, 5 prisonniers, et 84 armes récupérées.
        • Les deux chefs rebelles sont abattus.
           
    • Septembre 1957.
       
      • Les Temps Modernes, le récit de Jacques Pucheu, et ses 360 morts, puis, le copier/coller du faussaire Vidal-Naquet en 1962.
         
    • En Février 1960, dans le livre Pacification de Hafid Keramane.
       
        • « A Biskra, fin juillet 1956, à la suite d'un attentat, les camarades du soldat blessé descendent dans le quartier arabe, déchargent
            leurs armes sur la population civile, lancent des grenades dans les maisons.
            Bilan : 26 à 30 morts et quarante blessés parmi la population musulmane.
            (Expédition punitive organisée par les Sénégalais). »

           
    • En Novembre 1962 :
       
        • Claude Paillat, dans le livre les dossiers secrets de l'Algérie, reprend mot pour mot le texte de Pucheu, avec ses 35, puis 325 morts.
           
    • Je passerai sur la litanie des auteurs spécialiste du copier-coller,
      pour aller directement, au monument aux martyres de Biskra, installé sur la place de la Liberté en 2004.
       
      • Il est composé de trois panneaux en carreaux de céramique,
        le panneau central évoque le sanglant dimanche noir, du 29 septembre 1956, au cours duquel,
        un grand nombre de Biskris furent massacrés à la mitraillette par des tirailleurs Sénégalais de la garnison de Biskra.


  • Partie centrale du monument aux martyres à Biskra de 2004.
    Carreaux de céramique peint.


    Algérie 1956 Echo Alger Attentats.


     
  • Enfin, couronnement du Mythe des Martyres de Biskra,
    le 08 septembre 2004, le réalisateur Abdelhamid Teitache, présente son premier film documentaire intitulé :
     
        Dimanche noir, au siège de la Télévision nationale Algérienne.
         
  • Publié dans L'Expression du 08/09/2004,
    l'article de M. O. Hind, intitulé, De Sang et de Châtiment, Documentaire Dimanche Noir, nous informe sur ce documentaire.
     
    • Premier films d'une série commémorant le 50e anniversaire du déclenchement de la Révolution algérienne.
       
          « Ce documentaire de 52 min, baptisé Dimanche Noir,
            retrace par reconstitution de faits, par l'intervention de témoins oculaires, moudjahidine et citoyens encore en vie, l’horrible massacre
            commis par la soldatesque coloniale, lors du sanglant jour du 29 Septembre 1956, plus connu sous l'appellation Dimanche Noir.

            Dimanche noir, évoque une journée fériée ordinaire au centre-ville de Biskra où de paisibles citoyens algériens vaquaient, normalement
            à leurs occupations quotidiennes ne se doutant guère du mal qui va s'abattre sur eux en début de cette journée fatidique.

            Un ratissage sans précédent, qui a vu la mort de près de 300 personnes, parmi les habitants de la région.
            Ce carnage est l'œuvre d'une vengeance aveugle perpétrée sur des civils, suite à l'assassinat d'un officier de l'armée française par
            le Maire, le présumé assassin.

            Des images de reconstitution en noiret blanc,
            viennent étayer ces souvenirs tragiques, cette boucherie survenue à l'ex-boulevard Cardinal-Lavigerie, aujourd’hui Si El-Haouès,
            avec remise en place de la statue du cardinal sur son socle d'origine..... »


           
    • On a même eu droit à un Opéra,   Le Dimanche Noir de Biskra.

       
  • Voilà, le caporal-chef Sénégalais,
    est devenu 47 ans plus tard, un officier Français, assassiné par le maire de Biskra, M. Jean Cazenave, on croirait du Florence Beaugé.

     
  • Merveilleux mélange de deux événements,
    celui relater par le menteur Pucheu, et celui réel, de l'anéantissement de deux bandes rebelles, commandées par Mohamed Ben Boulaïd,
    et, par le déserteur Lahoussine, par le colonel Arfouilloux, commandant le 7e RTA, près de Mac-Mahon, le Jeudi 27 septembre 1956,
    et, qui a fait la première page, de l’Echo d’Alger du 29 Septembre 1956. .

     
  • Et, voilà, comment on installe le mythe de l'assassinat par des Sénégalais de 360 musulmans de Biskra.

     
  • Simple détail pour les Algériens, le 29 septembre 1956, n'est pas un Dimanche, mais un Samedi.
     
    • Le Samedi 29 Septembre 1956, jour de la Saint-Michel, patron des parachutistes depuis 1945.
       
  • Il y a bien eu un officier Français, mort le 29 Septembre 1956, en Algérie.
     
      • De Touchet Xavier Ulric Marie Patrick, Lieutenant au 1er R.E.P.
        Fils du chef d’escadron Antoine de Touchet, fusillé par l’ennemi à la prison de Caen, le 06/06/1944.
        Mais, il est mort par accident.

         
  • Petits points de détail de l'Histoire.


  • Fiche individuelle du Lieutenant De Touchet du 1er Régiment Etranger de Parachutiste.

    Algérie 1956 De Touchet 1er REP


     
  • Terminons cette chronologie, par celle du cinéma à Biskra.
     
      • Il y avait bien un cinéma, après 1930, dans le Casino, mais il était réservé à la clientèle de passage.
        Ce n’est pas vraiment un cinéma, mais une grande salle de projection.
         
      • Ce « système de projection » , perdurera encore quelques années,
        les anciens de Biskra, encore vivants, confirment la présence d’une grande salle où, il fallait emmener son siège.
         
      • Il a été projeté, « Autant en emporte le vent », sans doute après 1945, car avant c’était presque impossible.
         
      • Pas de chance, pour Pucheu, il n’y avait pas de salle de cinéma en 1956,
        il faudra attendre 1960, pour voir figurer pour la première fois le mot cinéma dans un annuaire à Biskra.
         
        • On trouve la ligne suivant dans l’annuaire de Biskra de 1960 :
           
            • Bengana Boulakras, cinéma « La Palmeraie », boulevard Carnot. Téléphone : 3.78

               
    • Donc, Jacques Pucheu, n’a pas pu aller dans une salle de cinéma en juin 1956.

       
  • Le denier grand paragraphe du récit de Jacques Pucheu porte le titre suivant :
     
    • Menaa   Octobre 1956 - Avril 1957.

       
          « Au mois d'octobre, la compagnie fut mutée à Menaa, secteur d'Arris, petit ville de 2.000 habitants. »

           
  • Parmi les inepties de ce début de paragraphe, on trouve la ligne suivante :
     
        « Le capitaine cherchait à rallier la population.....
          Il décida qu'il fallait apprendre aux indigènes à cultiver correctement leur terre et à tisser.
          D'où, la création d'un centre expérimental et construction d'un métier tisser.
          Il me demanda d'être instituteur. »


         
  • Hallucinant,
    pas un seul journaliste d'investigation, n'a relevé cette énormité, Menaa était connue pour ses tissus blancs,
    bien avant Germaine Tillion, il y avait eu des « exploratrices », qui avaient écrit sur le Chaouias.
     
    • 1929 : La femme chaouia de l'Aurès : étude de sociologie berbère, de Mathéa Gaudry :
       
          « Ceci ne se produit presque jamais à Menaâ, où l'on en tisse guère que du blanc,
            les tissus de couleur étant presque toujours achetés à d'autres Chaouia ou à des nomades venus du sud.
            Pendant l'installation du métier et la petite fête qui suit ... »


           
    • Je me suis posé la question, que venait faire dans cette litanie des crimes de l'armée française, ce métier à tisser ....
       
    • il y a bien un lien, celui du communiste Mohammed Dib, avec son livre paru le 01/01/1957, dont, le titre était : Le métier à tisser.


  • Aurès 1925 Le métier à tisser.

    Algérie 1925 Aurès  métier à tisser.


     
  • Revenons à son récit :
     
        « Au mois de Janvier, un petit convoi de 30 hommes,
          subit à six kilomètres de Menaa, en un point de la route appelé Col des Oliviers, une embuscade très rude :
         
          • 7 morts, 9 blessés graves, 8 blessés légers, 6 indemnes seulement.

          Deux jours plus tard, nous descendions sur deux villages, situés à 1 km du lieu de l'embuscade, proche du centre de Chir.

          Une dizaine de civils furent exécutés sur place en représailles......
          Beaucoup de femmes furent violées, et les deux villages sautèrent à la dynamite..... »


         
  • Je passerai sur la finesse des tortures et le sadisme des soldats français.
     
  • Je rappelle aux Pieds Nickelés,
    que le récit de Jacques Pucheu, sert en Algérie, de support d'étude pour les crimes de l'Armée Française pendant la guerre de Libération.
     
  • Pourtant, en quelques secondes, un Algérien honnête, pourrait se rendre compte de l'énormité du récit de Pucheu.

     
  • Commençons par la géographie :
     
        • Embuscade à six kms de Menaa, au col des Oliviers.
        • Deux villages situés à 1 km du lieu de l'embuscade, proche du centre de Chir.
           
      • Il n'y a pas de « Col des Oliviers », dans ce secteur.
         
        • Le village du Col des Oliviers,
          se trouve sur la route nationale N°3, celle qui allait de Batna à Philippeville, le village se situe entre Condé-Smendou et El-Arrouch.
           
        • Il n'y a pas eu d'embuscade, dans le secteur de Biskra, où de Mennaa, en janvier 1957.
           
  • Alors, M. Pucheu aurait-il encore menti,
    où les informations du comité Landy, étaient-elles parcellaires, car Pucheu aurait pu nous raconter plus d'histoires,
    chose, que ne manquera pas de faire, son collègue communiste, Robert Bonnaud, dans le même numéro, des Temps Modernes.

     
  • Pour ce mois de Janvier, il y deux embuscades et un scratch hélicoptère.
     
      • je rappelle aux Pieds Nickelés, que 44 % des victimes de la guerre d'Algérie, sont mortes par accident!!!


  • Secteur de Marceau   Maison Forestière de Tizi-Franco Algérie 1956.

    Algérie 1956 Secteur de Marceau   Maison Forestière de Tizi-Franco.


     
  • Détails du ficher des morts pour la France en AFN.

     
      • 1957 : 3.909 morts pour la France.
         
      • Janvier 1957 : 306 morts, dont 28, dans les troupes auxiliaires, et une femme civile.

         
  • Détail du fichier des morts dans les régiments ou bataillons.
      • Du 01 au 8 janvier 1957 :
          • 26 morts, dont l’exécution, du Médecin Auxiliaire, Vanier Jacques, du 103e S.I.M., service de santé de Bouzina,
            né le 01/05/1931, exécuté le 05/01/1957, alors qu’il se portait au secours d'une femme Chaouia malade.
             
      • Le 09/01/1957 :
          • 28 morts, dont 22 du 21e RI,
            tombés dans une embuscade, près du douar El Gourine, dans le djebel de Bou-Maad, dans la commune de Cherchell, département d'Alger.
            Connue sous le nom d'embuscade sur la piste Marceau-Tizi Franco.
             
      • Le 10/01/1957 :
          • 6 morts dont un du 21e RI.
             
      • Du 11 au 23 Janvier 1957 :
          • 51 morts
             
      • Le 24/01/1957 :
          • 17 morts, dont 10 du 226e BI dans le djebel Kef-Menaa, j’ai choisi cette embuscade, pour dénoncer les mensonges de Pucheu.
             
      • Le 25/01/1957 :
          • 13 morts, dont trois aviateurs, dans le scratch d'un hélicoptère H 21 code 31 F 5.
             
      • Du 26 au 31 janvier 1957 :
          • 35 morts.

             
    • Durant tout le mois de janvier, le 24e RIC, perdra 3 soldats, tous morts à Batna.


  • Algérie   Les Aurès   1956.

    Algérie 1956 les Aurès.


     
  • L'embuscade du 24 Janvier 1957, a eu lieux dans le Djebel Kef-Menaa, à 70 kms au Sud de Bou-Saada,
    soit à plus de 250 Kms par la route, de Menaa ou de Chir.
     
  • Le récit de l'embuscade et des représailles du communiste Pucheu Jacques est bidon.
     
  • Afin de démontrer, aux Pieds Nickelés,
    la réalité de cette embuscade, voici quelques informations facilement vérifiables par le commun des mortels.
     
      • Le 24 Janvier 1957, au Djebel Kef-Menaa, , dans les Monts des Ouled Nail, dans l'Atlas saharien, la troisième compagnie du 226e BI,
        stationnée à Medjedel, village situé à 70 Kms au Sud de Bou-Saada, au pied du Djebel Kef-Menaa, était de « corvée de bois ».
         
      • La roulotte de la compagnie fonctionne au bois.

         
      • Le bataillon était arrivée en Algérie, fin novembre 1956.
         
      • La troisième compagnie, s'était installée dans le village de Medjedel, dans les premiers jours de Décembre 1956.
         
          • La formation a été effectuée sur place.
             
          • Mal encadrée, sans protection, sans F.M., surpris et peu préparés à une éventuelle embuscade, ils ont malgré tout, riposté,
            et, tué deux rebelles.
             
          • Mais le bilan est lourd, pour une simple corvée de bois.
             
              • Dix morts et dix blessés.
              • Je passerai sur le matériel et sur les armes perdues.
                 
          • Un des rebelles tués habitait dans le village de Medjedel.
             
              • Les survivants de cette embuscade,
                accrochèrent le cadavre du rebelle de Medjedel, à un GMC, et firent plusieurs fois le tour du village.

             
          • La compagnie fut relevée et ramenée à Bou-Saada, pour calmer les esprits!.
             
          • Lors du retour dans le village, ils baptiseront leur camp du nom de « Fort du Sergent Maron ».

             
    • Voici par ordre alphabétique cette triste liste :
       
            • Aube Rémy Michel 19/11/1935
            • Boz Marcel 04/03/1937
            • Bulot Jacques
            • Cabart Jack 26/01/1936
            • Durant Gaston 12/07/1935
            • Gouysse Jean Pierre 27/05/1936
            • Jung Alfred 28/05/1935
            • Maron Maurice Antoine Sergent 07/05/1934
            • Pech Claude Gabriel 24/09/1935
            • Pelletier Michel 23/01/1936

               
    • Rien, personne, pour dénoncer les mensonges des communistes de cette année 1957.
       
    • J'espère qu'après cette lecture,
      des Algériens soucieux de la vérité, n'utiliseront plus le récit du communiste Jacques Pucheu, comme support d'étude.
       
    • Et, que désormais, ils regarderont à deux fois avant de croire aux récits de cette année 1957.