Le président Macro, a été demandé pardon aux X noyés de la Seine, il nous dit :
« Outre de nombreux blessés, plusieurs dizaines furent tués, leurs corps jetés dans la Seine. De nombreuses familles n’ont jamais retrouvé la dépouille de leurs proches, disparus cette nuit-là. Le Président de la République rend hommage à la mémoire de toutes les victimes. »
Il ajoute :
« Il a reconnu les faits : les crimes commis cette nuit-là sous l’autorité de Maurice Papon sont inexcusables pour la République. »
Le président Emmanuel Macro aurait dû lire, le livre du célèbre communiste Maurice Thorez,
écrit en 1959, le titre : « Œuvres de Maurice Thorez Livre V. »
Maurice Thorez, voulant glorifier les résistants communistes écrivait dans son livre :
« On retrouve fréquemment au barrage de Suresnes des cadavres de Colonels, de Majors Allemands. Le soir les occupant n'osent plus circuler seuls dans les quartiers de la périphérie. .. » »
M. Benjamin Stora et consort clament la mort de plus de 200 Algériens, noyés dans la Seine, le 17 Octobre 1961.
Madame Safia Kessas et les participants aux cérémonies du 17 octobre 1961, y ajoutent, la mise à mort par la police de Papon, d’un collégienne de 15 ans, la jeune Fatima Bedar, qui s’est suicidée, le lundi 30 octobre 1961, avant-dernier jours de classe, avant les vacances de la Toussaint, elle sera découverte près du pont du canal
Saint-Denis, le 31 octobre 1961.
D’où vient ce gros bobard de la jeune Fatima Bedar, c’est l’écrivain communiste Didier Daeninckx, qui à la BNF et à Beaubourg, a relevé tous les noms des morts à consonance magrébine de l'année 1961.
Et ensuite, le communiste Jean Luc Enaudie l’officialise, l’Algérie en fait une héroïne, puis, le prophète Benjamin Stora souffle à l’oreille du président Macron, et les communistes font le reste.
Un suicide devient une mise à mort par la police de Papon.
Pourtant, le rapport de IML indique un séjour de moins de 24 heures dans l’eau.
Le rapport du commissaire, indique, après enquête au college, que ces parents voulaient l’envoyer au Bled, je vous laisse deviner pourquoi. !!!!!!
La Une d'un journal en 2021.
Revenons au livre du célèbre communiste Maurice Thorez, qui en 1959, voulant glorifier les résistants communistes écrivait dans son livre : « Œuvres de Maurice Thorez Livre V. ».
« On retrouve fréquemment au barrage de Suresnes des cadavres de Colonels, de Majors Allemands. Le soir les occupant n'osent plus circuler seuls dans les quartiers de la périphérie. .. »
Note :
Il avait une très bonne vue, le camarade Thorez, car des bords de La Moskova, il pouvait voir les barrages de Suresnes en 1941.
Il situe ces actes de résistances communistes avant le 18 juillet 1941.
Oui, M. Thorez est un menteur .... Je ne pense pas qu'on ait retrouvé un seul cadavre allemand aux barrages Suresnes.
Oui, un résistant communiste à bien tué au métro Barbes, le 20 Août 1941, un officier de marine allemand.
Oui, le 20 octobre 1941, un lieutenant-colonel allemand est tué à Nantes.
Oui, à Bordeaux, un autre officier allemand est tué.
Les représailles ont été sans commune mesure, 98 fusiliers dans divers villes, dont cinq à Suresnes au mont Valérien.
Bizarre, vous avez dit bizarre.
En 1998, un deuxième menteur communiste M. Jean-Luc Einaudie, nous racontera les centaines de morts algériens noyés dans la Seine à Paris, mais ces morts ne s'arrêtent pas aux barrages de Suresnes.
Je repose ma question, comment un corps pouvait-il franchir les barrages de Suresnes, et les six autres sur la Seine jusqu’au Rouen ?
La prochaine étape, des communistes, c’est le massacre d’Etat contre ses pauvres Algériens victimes des méchants policiers de Maurice Papon.
Le mensonge du photographe Elie Kagan l’acteur qui est sur le mur n’est pas mort. Nanterre Rue des Pâquerettes. Le 18 Octobre 1961.