ALGERIE - 1954 - 1962




 

 Catégorie voyage     Lefebvre       Paul

 
  • Paul Lefebvre est sans aucun doute, le Menteur communiste, le plus officialisé
    de l'histoire des événements en Algérie, et pourtant sa lettre au président de la république à fait comme on dit chez nous : « TCHOUFA ».
     
      • Ces mensonges étaient si invraisemblables, qu'il a fallu quelques jours pour dénoncer ses élucubrations communistes.
         
      • N'ayant pas était jugé par le tribunal militaire, Il a sans doute écopé de quelques jours de prison, pour n'avoir pas respecté la hiérarchie militaire.
         
      • Les journaux pro-FLN, les communistes et consort, nous indiquent qu'il a écrit au président René Coty, que sa lettre est parue
        dans le torchon communiste, La Vérité, qui paraissait unique dans le Nord.
         
      • Mais c'est le torchon, publié par Vidal-Naquet, et le comité de Landy, « Témoignages et documents », le El Moudjahid français, qui fera réagir,
        celui qui, quelques années plus tard, donnera à Ben-Bella, l'Algérie, après, y avoir investi des milliards pour rien.
         
      • Suite à ce mémorandum adressé en Septembre 1958, et publié dans la revue en Octobre 1958, De Gaulle, adressera la lettre suivante
        au Général Raoul Salan, délégué général du gouvernement et commandant en chef des forces en Algérie.
         
            « Paris, le 13 Septembre 1958.

              Mon cher général.

              Mon attention est appelée sur des actes de torture ainsi que des exécutions sommaires dont porterait la responsabilité
              le lieutenant X, commandant le C.A.S. d'El-Abiodh Sidi Cheikh....

              Il m'est indiqué d'autre part que le 24 Juillet précédent,
              31 Français musulman algériens, arrêtés dans une ferme située à une vingtaine de kilomètres du village de Chemora,
              auraient été exécutés sommairement sur les ordres du capitaine commandant la 4e compagnie du III/94e R.I., et enterrés ensuite
              dans le terrain de football de Chemora.... »


             
      • Puis, de Gaulle, informe le général Salan, qu'il porte ces faits à la connaissance de M. Paul Patin, président de la Commission de sauvegarde.
         
      • Il demande que le General Salan, lui donne dans les plus brefs délais toutes les précisions sur ces faits graves.
         
  • C’est la partie concernant Chemora, qui est l’œuvre du communiste Menteur Lefebvre.
     
  • Nous reviendrons dans une autre page sur les exécutions sommaires d'El-Abiodh Sidi Cheikh.


  • Le torchon, publié par Vidal-Naquet, et le comité de Landy, Octobre 1958.

    Algérie lettre de De Gaulle au général Salan Septembre 1958

     
  • Chronologie des évènements concernant le récit de M. Paul Lefebvre.
     
      • 2 Juillet 1956.
        • Lettre d'Alban Liechti pour info.
           
      • 2 Septembre 1958.
        • Lettre au journal communiste Liberté (je n'ai pas trouvé de trace de cette parution).
           
      • Octobre 1958.
        • Dans le N° 8 de Témoignages et documents, la une du journal était :
            Nous Accusons...   puis suit, le Mémorandum envoyé au Président Coty, et au président du conseil, le général De Gaulle.
             
          • En page quatre, nous trouvons le récit détaillé de M. Paul Lefebvre,
            nous décrivant les tortures et sévices pratiquées par le Capitaine Tornade, et, le sous-Lieutenant Mornav à Chemora.
             
        • Dans la revue La Défense N° 408, organe de la Section française du Secours rouge,
          nous retrouvons le même texte, seule la mention, parue dans le journal Liberté du 2 Septembre 1958, à disparu.

           
  • Dans sa lettre au général Raoul Salan, de Gaulle avait écrit :
     
        « Il m'est indiqué d'autre part que le 24 Juillet précédent,
          31 Français musulman algériens, arrêtés dans une ferme située à une vingtaine de kilomètres du village de Chemora,
          auraient été exécutés sommairement sur les ordres du capitaine commandant la 4e compagnie du III/94e R.I., et enterrés ensuite
          dans le terrain de football de Chemora.... »


         
  • Commençons par le chef de la 4e section du III/94e R.I. à Chemora.
     
      • C'est le Lieutenant Michel qui commandait la compagnie en Avril 1958.
         
      • Le Capitaine Piron Pierre Gabriel lui succèdera en juin 1959, il sera décoré de la médaille militaire le 20 Août 1960.

         
  • Le soldat Lefebvre Paul aurait-il menti !!!

     
  • Le troisième bataillon du 94e RI était composé de quatre compagnies et du CCAS.
     
      • Le PC se trouvait à El-Mader.
      • Les compagnies 1 et 2 étaient à El-Mader.
      • La 3e Cie, à Aïn-Yagout.
      • La 4e Compagnie à Chemora et dans une ferme.


         
  • Dans son récit, Lefebvre nous parlait d'une ferme située à une vingtaine de kilomètres du village, il s'agit de la ferme Guareschi.
     
  • Paul Lefevbre conclus, en nous expliquant que les 31 musulmans avaient été enterre dans le stade de football.
     
  • Sur la photo ci-dessous, du Bordj de Chemora, on cherche vainement le stade de football, transformé par les communistes en véritable charnier.


  • Le poste de Chemora 1958.

    Algérie le poste militaire de Chemora 1958

     
  • Dans sa lettre Lefebvre nous précisait :
     
        « En juin et en Juillet, sans répit, chaque jour nous étions en opération....
          Ainsi, le 24 juillet dernier, trois jours avant mon départ en permission.... »

         
  • Puis, suit l'histoire du massacre de 31 algériens.

     
  • Le service des armées, nous précise pour le 94e RI. et surtout pour le troisième bataillon.
     
    • 3e bataillon du 94e RI.
       
      • Détails des périodes où, ce bataillon était une unité combattante :
         
        • du 11 janvier 1957 au 9 juin 1957.
        • du 24 juin 1957 au 26 juillet 1957.
        • du 24 Août 1957 au 26 Décembre 1957.
        • du 8 Mars 1958 au 14 Avril 1958.
        • du 18 Aout 1958 au 19 octobre 1958...  Mais Lefebvre n'était plus là.
           
    • Donc rien en en Juin et Juillet 1958.
       
    • Quel sacré menteur ce Paul Lefebvre.

       
  • Pour les Pieds Nickelés,spécialistes du copier/coller, j'ai nommé Michel Dandelot, la LDH de Toulon, les 4ACG,
    les comiques de la FNACA, sans oublier, les deux prophètes de la Guerre d'Algérie,Raphaëlle Branche, et Benjamin Stora.
     
      • Voici, un petit extrait du recueil des actes administratifs, en date du 5 janvier 1960, qui nous explique
        que la commune de Chemora, a fait objet d'une enquête partielle N° 10944 requise par M. Laïb Ali ben Mohamed du douar Chemora.
         
      • Cette requête a retardé la création des communes de Chemora et d'Achêches, dans le département de Constantine.
         
      • Par un décret en date du 22 Décembre 1959, la dite enquête partielle N° 10944 est annulée.
         
    • Rien n'a pu être réalisé avant la date du 5 Janvier 1960, date de la parution du décret d'annulation.
       
    • Pas de stade, pas de Mairie ... Rien.


  • Extrait du recueil des actes administratifs, en date du 5 janvier 1960.

    Algérie recueil des actes administratifs Chemora 1957

     
  • N'ayant pas accès aux archives, je ne peux qu'émettre une hypothèse !
     
      • Il n'est pas impossible, que devant les mensonges répétés des communistes, et sans doute après la réponse du général Raoul Salan,
        démontrant facilement, les mensonges de Lefebvre Paul, que De Gaulle donne les ordres nécessaires au Ministre des Armées, pour
        que l'on se débarrasse de ces « soldats communistes du refus », sans passer devant un tribunal militaire, pour éviter le déferlement
        d'articles de presse dans les journaux communistes.
         
      • Cela explique sans doute pourquoi, quatre des cinq communistes transférés à Tinfouchy en 1959, n'ont jamais été jugés.
         
      • On doit ajouter à ces cinq, Emile Lauransot, transféré en Mars 1960.
         
  • Aujourd'hui, certains historiens font semblant de découvrir le bordj Fouchet,
    ils en font leurs choux blancs, ils parlent de secret d'Etat, de nouvelles découvertes, ils nous décrivent les tortures qu'auraient subis
    les communistes de Tinfouchy, ils nous expliquent que la France a créé pour eux, un bagne à Timfouchy, en 1959.

     
  • Mais, quand est-il exactement :
     
          « La discipline faisant la force principale des Armées ..... »

           
      • Tinfouchy n'a pas été créé en 1959.
         
      • Le Bordj Fouchet a été construit en 1950 par le capitaine Kistner et l'Adjudant-chef Hajdic de la compagnie de discipline de la Légion.
         
      • C'est en Août 1951, que fut créé, le 3e B.I.L.A., connus sous le nom de Bat d'Af.
         
        • Les BILA étaient des corps à vocation combattante, mais appartenaient à l'univers disciplinaire, d'où les sections Spéciales.
           
        • Après l'Indochine, il s'installe en Tunisie, à Tataouine.
           
        • C'est, le 30 Novembre 1956, que le 3e bataillon d'infanterie légère d'Afrique quitte Tataouine, et embarque à Sousse pour l'Algérie.
           
        • Il arrive à Oran, et il est envoyé dans le sud Saharien.
           
          • Il installe la première compagnie et la Section Spéciale à Tinfouchy, tandis que le reste de l'unité, s'installe à Tindouf et Oum el Achar.
             
          • La section Spéciale d'AFN comptait environs 120 Joyeux,
            elle deviendra en 1958, Compagnie Spéciale d'AFN, puis Compagnie Spéciale des troupes Métropolitaine, début 1960.
             
        • Ce 3e BILA, comportait environ 700 Joyeux, c'est le nom donnait aux soldats des BILA.
           
  • Certains historiens, du style Jean-Charles Jauffret ou Tramor Quemeneur, après les années 2000,
    nous expliquaient que le bagne de Tinfouchy, a été révélé par la revue « La défense », N° 45 de Mai 1959, mais, comme de coutume,
    ils ne vérifient pas les articles de cette revue communiste.
     
    • Dans cette revue, les mensonges étaient légion ...
       
    • Parmi les bobards de l'article du n° 415, sur la révélation du bagne de Tinfouchy, il y avait celui-ci :
       
      • La mort de deux disciplinaires !!!
         
            « Comment sortir de là, comment s'évader de cette prison sans barreau.... Si vous voulez déserter ne vous gênez pas......
              Mais les gardiens sont là et leurs fusils partent à la moindre velléité de fuite.
              Deux disciplinaire n'ont-ils pas ainsi trouvé la mort. »

             
    • Le journal communiste écrit que l’on peut tuer qui l'on veut sans rendre de compte.


  • Fort Fouchet   Tinfouchy   1959.

    Sahara Tinfouchy 1959 Fort Fouchet

     


     
  • Dans son numéro 416, du mois Juin 1959,
    « La Défense », ouvrait sa une avec une grande photo, du Menteur Lefebvre Paul, et, la revue publiait une double-page sur Tinfouchy,
    illustrée par un livre de 1925, « Les Bagnes Militaires », article de Jacques Dhur, publié par la Librairie Populaire, sous le titre :
     
        Reportage complet sur Biribi avec illustrations.
         
    • Même, si Jacques Dhur dénonçait les pratiques
      de l'époque dans les régiments disciplinaires, il n'avait pas vu, le quart de la moitié, de ce qu'il écrivait avec détermination.
       
      • Extrait de la premier page du livre :
         
          « Combien en sont morts, de ces tortures, ou demeurés estropiés pour toujours!

            Tenez!....
            A l'hôpital d'Aïn-el-Hadjar, il m'est arrivé de voir de près un de ces suppliciés.
            Et, à revivre cette vision atroce, j'ai encore le même frisson, d'alors, d'épouvante dans les os. »

           
      • Puis, suit la description des tortures qu'aurait subi ce disciplinaire, et le dialogue avec le médecin-chef,... un brave homme!
         
  • Je rassure les Pieds Nickelés, je ne vais pas reproduire ce livre de 98 pages, illustrés par des croquis sans équivoque de Georges Vallé,
    dont l'évasion et la mort des deux disciplinaires, Zimmer et Robin.
     
    • Mais ce livre de 1925, cite l'hôpital d'Aïn-el-Hadjar, malheureusement, pour M. Dhur, il n'y avait pas d'hôpital dans ce village,
      qui avait une gare, un passage à niveau, une mairie, une église, une école, un atelier pour le triage et l'expédition des halfas,
      mais pas d'hôpital, ni même de caserne.
       
    • Celui-ci se trouvait pas très loin, à Saida.

       
  • Cette double page sur Tinfouchy, est un copier/coller du livre de 1925,
    la partie du récit sur la mort des deux disciplinaires a été adapté par le secrétaire du bureau du Secours Rouge, pour coller à cette année 1959.

     
  • Comme tous les mensonges communistes, il y toujours une vérité :
     
    • Oui, il y a bien eu deux morts à Timfouchy....
       
      • Mais, c'était en Juillet 1957, exactement le 23 Juillet, que l'on a retrouvé les corps des deux chasseurs européens, évadés ou déserteurs du 3° BILA,
        retrouvés à une vingtaine de kilomètres du fort, morts de soif.
         
      • En cette année 1959,
        la seule victime dans cette partie du Sahara a été un civil, M. Ventutuzzo Gino, tué par fait de guerre, le 06/12/1959, il travaillait pour l'armée.
         
    • On pourrait y ajouter également les quatre morts de Septembre 1960, des soldats égarés dans le Sahara.
       
    • On peut également citer cette expérience scientifique, réalisée par le docteur Grandjean,
      dont le départ a été films par INA, en Septembre 1960, sous le titre de S.O.S. Sahara, par le journaliste Georges Bortoli.
       
      • L’expédition a séjourné dans le fort de Timfouchy.
          Cette Expérience scientifique au Sahara, allait permettre de mesurer la résistance des individus à la soif dans des conditions extrêmes.
          On déposait les cobayes ou les sujets, tout le long d'un parcourt, deux par deux, avec une toile de tente et de l'eau.

         
  • Mais, le premier article de la revue, La Défense, mentionnant le nom de Tnmfouchy,
    est parue dans la revue N° 413 de Mars 1959, bien avant le départ du premier communiste à Timfouchy.
     
    • Oui, cinq communistes ont bien séjournée à Timfouchy, mais pas en cachette, en Mars 1959.
       
    • Cette même revue, nous explique
      sur une double page, le départ pour l’Algérie, aux « Bat' d'Af », , de Voltaire Develay, le Henri Alleg de Tinfouchy.
       
    • Extrait de la conclusion de l'article de Gilbert Avril, membre du bureau national, sur la famille Develay.
       
          « Aujourd'hui, Madame Develay nous confie ses craintes.
            Voltaire a quitté Telergma, il est parti dans un bataillon disciplinaire à Tinfouchy.

            Avant de quitter la prison régimentaire, il avait écrit à sa fiancée :
           
            « Je sais ce qui m'attend, je vais devoir pendant trois jours porter une bûche de 20 à 25 kg,
              et, marcher, courir, me coucher, me lever toujours comme cela.
              Puis pendant 8 jours subir le tombeau, creuser un trou dans le sable et y rester coucher.

              Ne crois pas, ajoutait-il que ce sont des blagues..... »


             
    • Dans ce même article,
      Voltaire Develay, nous explique, que comme Henri Alleg avait vu Audin à El-Biar, lui, il avait vu Lefebvre Paul, torturait à Telergma.
       
      • Il nous décrit ce petit détail supplémentaire sur les tortures de Paul Lefebvre :
         
          « Une étagère s'est décrochée, et, Paul la reçue sur l'œil gauche,
            qui fut tuméfié et violet, le sergent-chef Herbulo fit alors enfermer Paul en cellule pour éviter qu'il n'aille à l'infirmerie. »


           
      • Après, les tortures de Paul Lefebvre, Voltaire Develay, nous raconte que lui aussi, le 21 Août 1958, trois jours avant son départ en permission,
        il a assisté à un massacre d’enfants Algériens, dans un village près de Telergma.


  • L'illustration de l'évasion et la mort des deux disciplinaires, Zimmer et Robin 1925.

    La morts des deux disciplinaires 1925 Tinfouchy 1959 Fort Fouchet


     
  • Heureusement pour Paul Lefebvre que le Secours Rouge,
    ai fait de Tinfouchy, son cheval de bataille, si non, ce soldat du refus communiste serait passé complément inaperçu.
     
  • En Janvier 1960, la revue communiste, La Défense, publiait de nombreux articles sur le barrage de Malpasset,
    mais la page 11 de ce N° 423, glorifiée le secours rouge pour avoir dénoncé en mai 1959, le bagne de Tinfouchy.
     
      • C'est Jean Clavel, un des cinq communistes de Tinfouchy, qui canonisait la revue La Défense, il déclarait :
         
            « D'ailleurs vos « révélations »,
              les démarches du Secours Populaire Français ont permis que s'opèrent à Tinfouchy, certains changements....

              Cela n'a pas empêché que Voltaire Develay et Paul Lefebvre soient molestés,
              lors d'un déplacement à Tindouf où, ils devaient être entendus par la gendarmerie.... »

             
    • Dans cette même page, un encas, nous parlait de Lucien Fontenel :
       
      • Le titre : Lucien Fontenel écrit ...
         
          « Ces lignes sont extraites d'une lettre écrite par Lucien Fontenel à un de ses amis quelques jours avant qu'il ne quitte Tinfouchy :

          « J'aurais souhaité éviter de t'apporter les derniers nouvelles de Tinfouchi....
            Tous d'abord, j'ai été sujet d'un de ces « incidents », que tu sais si fréquents en ce lieu...
            Les marques ont disparus, je ne souffre que ...

            Dimanche dernier,
            et, pour la première fois depuis ma présence à Tinfouchy, je suis allé en promenade au-delà des barbelés avec R.. et D.
            Bien sur ce n'était pas l'animation de notre grand Paris, mais cela change les idées un peu ... »


           
  • Reprenons ces deux témoignages de Janvier 1960, et comparons-les, avec leurs versions des années 2000 :
     
      • Si l'on en croit Lucien Fontenel, il serait resté pendant 11 mois derrières les barbelés, sans sortir.
         
      • La version des années 2000, nous dit que lui et les trois autres communistes auraient transmis une lettre en secret à un chauffeur de camion.
         
      • Cette lettre au camionneur, fait également partie du témoignage oral de Jean Clavel, en 2008, il précise exactement,
        que les quatre réfractaires communistes présents à Tinfouchy, lors de son arrivée, avaient réussi à transmettre
        un lettre à un chauffeur corse.

         
    • Première interrogation :
       
        • Quelle était utilité de mettre des barbelés en plein Sahara, à des centaines de kilomètres de toutes habitations.
          Le sable, était amplement suffisant.
           
    • Deuxième interrogation :
       
        • Le déplacement à Tindouf des deux communistes Fontenel et Lefebvre,
          aurait nécéssitée l'utilisation d' un Junkers JU 52 avec des pilotes et des gendarmes, sur une distances de 1400 km,
          deux voyages aller/retour, pour interroger deux clowns, que pouvaient bien révèles les deux communistes menteurs et falsificateurs.
           
        • Rien !!!
           
    • Troisième interrogation :
       
        • La lettre au camionneur dans le Sahara.
           
          • Grace à de brillants Historiens, cette version de l’ année 2008, de Jean Clavel, est devenue la version officiel.
             
          • Si on regarde une carte, le fort de Tinfouchy est situé près de la frontière Marocain, à des centaines de kilomètres de toutes habitations.
             
          • Composition des divers GRSA pour cette partie de Sahara.
             
            • Que nous raconte les aviateurs de la base GSRA N° 78,
              pour les Pieds Nickelés, GSRA veut dire Groupes Sahariens de Reconnaissances et d'Appui.
               
            • Le GSRA 78 est stationnait à Tinfoud, il effectuait une à deux fois par semaine le ravitaillement du poste de Tinfouchy.
               
        • Il n'y avait rien dans ce secteur :
           
          • Pas de pétrole.
          • Pas de mines, elles seront découvertes vers la fin de l'année 1959,
            et exploitées plus tard, c'est le grand gisement de fer de la Garaa Djebilet, en dessous de Tindouf.
             
        • Alors que faisait ce chauffeur journalier dans ce désert, sans route, juste une piste ? .


  • L'avant d'un Junker JU 52 du GSRA 78 avec l'écusson du groupement.

    Tindouf GSRA 78 Junker 1959 Tinfouchy


     
  • Pour bien démontrer que certains historiens se contentent de témoignages oraux, ou de revues partisanes à la gloire du FLN,
    voici le témoignage qu'un lieutenant du 3° BILA, qui commandait le poste Oum-El-Achar, en 1959, il restera en place pendant 15 mois.
     
  • Aujourd'hui, il est général, en retraite bien entendu.
     
    • Voici la description du poste de l'Oum-El-Achar :
       
        « Ce poste se trouve dans l'angle nord-ouest
          du Sahara Algérien, avec au nord le Maroc et la Seguiet el Hamra sous domination espagnole à ouest.
          Considéré comme stratégique, il était en liaison radio directe avec Alger.

          Il était situé au sommet de la chaine de l'Ouarkziz.
          Seuls pouvaient y accéder des véhicules légers ou chenillés par la piste en lacet.

          Il y avait entre 110 et 125 Joyeux, dans des conditions difficiles, un isolement total, une chaleur éprouvante, une absence d'eau potable.
         
          Le poste était logé dans des baraques Filliod en tôle.
          Le ravitaillement en eau potable avait lieu tous les mois en hivers, tous les quinze jours en été, à raison de 24.000 litres à chaque livraison.
          Le poste était par surcroit considéré comme poste disciplinaire du bataillon. »


           
  • Alors, il était où le bagne à Tinbouchy ou à Oum El Achar.

     
  • Nous terminerons cette page en chanson :
     
        « Joyeux fait ton fourbi, pas vu, pas pris, mais pris rousti. »

         
  • Tout est dit,   Merci mon général.
     
  • Il s’agit du général Serge Douceret, commandant en 1959, un poste isolé du 3e BILA, le poste de l'Oum-El-Achar.

     
  • Epilogue :

     
      • Dans les 80 mensuels de la revue Rouge, La Défense,
        couvrant la période de Novembre 1954 à juin 1962, je n'ai trouvé aucun article sur les assassinats du FLN.

         
      • Vous avez dit Bizarre.

            Comme c'est Bizarre.


  • Organigramme des moyens aériens du PCAD 29/540 en 1958.

    Tindouf GSRA 78 moyens aériens 1958 Tinfouchy