ALGERIE - 1954 - 1962




 

 Catégorie voyage     Bibard       Michel

 
  • Abordons maintenant, la liste des trois menteurs, qui n'ont jamais mis les pieds à Guentis.
     
    • Robert Bonnaud, et son complice Vidal-Naquet, lettres de Guentis, septembre 1956, publiée en 1962, dans le livre : Itinéraires.
       
      • Il a été démontré que le récit de l’embuscade, où serait mort son ami Armando Paul Charles était bidon, et,
        que le bataillon de Robert Bonnaud, ne pouvait pas être à Guentis à la date indiquer dans ces lettres.
         
      • Lire les pages sur Robert Bonnaud, le menteur.

         
    • Roger Rouch, dans son livre : Chapeau de brousse et Chéchia, parut en 2013.
       
        • Dans un article du journal   La Croix, il écrivait :
           
            « J'ai écrit ceci en 1957, juste après mon retour d'Algérie, où j'ai vécu de juillet 1956 à mars 1957.
              Les convois opérationnels nous laissaient des fellaghas ou des suspects.
              Il fallait que ces gens-là crachent le morceau....
              Donc, la torture se pratiquait couramment à Guentis.

              Je me souviens même de cette visite impromptue de hautes personnalités avant laquelle on dut à la hâte
              cacher quatre ou cinq arabes en piteux état. »

             
        • Puis, le menteur Roger Rouch, voulant donner des preuves matérielles écrivait ceci :
           
            « La torture ici, c'était le téléphone E8.
              On branchait les deux fils de l'appareil aux oreilles ou aux testicules, et on tournait la manivelle de la magnéto... »

             
        • Puis, suivait la description des douleurs du supplicier.

           
      • Quand est-il exactement de ce téléphone E8.
         
        • Il s’agit du téléphone US EE8, reconditionné pour l'armée française en 1955.
           
          • Le générateur est conçu,
            pour faire sonner un autre poste de réception, à l'autre bout de la ligne, par la création d'un courant alternatif.
             
          • Générateur GN-38 et GN-38-A ou -B.
          • Puissance de la batterie 1,5 volt.
             
        • Ci-dessous photo de la notice technique, mise en ligne par un amateur de matériel militaire.

           
  • Quel sacré menteur ce Roger Rouch, encore un affabulateur communiste.


  • Notice technique du téléphone US EE8 1955.

    Algérie Notice technique du téléphone US EE8 1955

     
  • Et enfin,Michel Bibard, qui sur plusieurs pages,
    nous racontent une histoire abracadabrantesque, ponctuée du génocide de centaines de FSNA, et de torture à Guentis.

     
    • C'est sans doute l'article de Michel de Robien, chef du maghzen monté de Guentis,
      publié dans la Revue « La Chartre », en 2007, puis sur le NET en Novembre 2008, et dans la revue SAS N° 42, d'Octobre 2014,
      qui lui a, sans nul doute, fourni, presque tous les détails usités par votre illustre agrée dans son récit.
       
    • Il faut également ajouter, l'article écrit dans SAS N°31 Avril 2009, sur le massacre d'un médecin, le Sous-Lieutenant Jacques Villaret,
      qui arrivera à Guentis, le 6 Juillet 1959.
       
        • Cet article est écrit par le dentiste du secteur, le Sous-Lieutenant Jacques Jausseran, qui arrivera à Guentis en Avril 1960.
           
        • En même temps, que le Docteur Villaret,
          le chef de groupe du maghzen monté de Guentis, le sergent-chef de l'armée de l'air Michel Durin, sera également tué.
           
        • On retrouvera leurs corps, plusieurs mois plus tard, lors de l’arrestation d’un rebelle, qui portait les rangers du docteur Villaret.

           
  • Que nous disait M. Michel de Robien, le chef du maghzen, voici quelques extraits de son récit :
     
        « J’étais sous-lieutenant, et c’est à Guentis que j’étais !.....

          Le commandant des Affaires Algériennes du Secteur de Tébessa,
          demande à la Direction de Bône de lui affecter un cavalier pour créer le P.M.G. (Peloton Monté de Guentis),
          qui devait suivre les populations semi-nomades du douar Stah, qui transhumaient chaque hiver depuis les Hauts Plateaux vers
          les confins sahariens, sur le versant sud des Nemenchas……

          Le chef de SAS était le lieutenant Pentecôte, réserviste en situation d’activité, un ancien tirailleur.
          L’adjoint civil, Monsieur Grall était un breton, un peu tête brûlée, qui pendant la guerre d’Indochine s’était engagé sur un coup de blues
          dans la colo, laissant en Bretagne femme et enfants, et qui à l’issue de ses cinq ans n’avait pu se refaire à la vie civile.
          Le radio, M. Tollas, était un ancien légionnaire allemand.
          Le médecin aspirant, Giacomoni, un corse truculent et sympathique…

          Fin septembre ou début octobre, les chevaux étaient achetés, les effectifs du maghzen complétés et nous embarquions le tout sur des GMC,
          dans des conditions un peu acrobatiques pour les chevaux.

          Il n’y eut miraculeusement pas de casse, à destination de Négrine à quelque cent kilomètres pour rejoindre notre campement situé un peu plus
          à l’ouest, assez proche de l’oasis de Ferkane.
          L’oued Allaïl se perdait dans les sables à un ou deux kilomètres ce qui permettait d’y aller abreuver les chevaux.

          Notre mission était d’assurer une présence aussi constante et aussi amicale que possible parmi cette population très disséminée,
          mais implantée dans une zone où nous progressions en général assez à découvert. Le maghzen monté trouvait là sa parfaite justification.

          Le cheval permettait de faire facilement des journées
          de plus de vingt kilomètres et de bien voir ce qui se passait alors que les patrouilles motorisées étaient «vues sans voir».

          Enfin, un peloton d’une quinzaine de chevaux permettait de couvrir une bonne surface de terrain et de patrouiller dans de bonnes conditions……


  • Les populations semi-nomades du douar Stah 1960.

    Algérie les populations semi-nomades du douar Stah 1960

     
  • Nous reviendrons sur le récit de M. Michel de Robien, pour démontrer que Michel Bibard, nous a menti.

     
  • Prenons la partie du récit abracadabrantesque, de M. Michel Bibard, concernant ses deux mois à Guentis.
     
    • Le titre : Guentis, dérive d’une SAS vers le pire.
       
          « En juillet 1960, j’ai été détaché de la SAS de Morsott et envoyé, comme chef de S.A.S. par intérim, à Guentis, à l’est de Tébessa,
            en plein massif des Aurès, où mon ami M. de R. était en poste après un autre sous-lieutenant appelé, G., qui y avait laissé
            le souvenir d’une brute ivrogne et tortionnaire.

            Ce poste isolé avait tellement mauvaise réputation que je n’ai pas dit à Jacqueline, partie accoucher en métropole, où j’étais nommé.

            Le climat d’horreur était dû aux souvenirs sanglants qu’y avaient laissés deux rébellions du contingent, très majoritairement
            composé de F.S.N.A., et les répressions impitoyables qui s’étaient ensuivies.
            (Un témoin : « on en pendait partout, par le cou ou les pieds. » ). »

           
  • Pour une lecture simplifiée, des diverses versions du récit de M. Michel Bibard, j'ai conservé comme exemple, celle parue sur le Net et intitulée :
     
        Deux candides égarés dans les Aurès, les SAS de Michel Bibard.
         
    • Cet article a été publié, le 28 décembre 2013, dans le blog de Claude Bataillon.
       
    • Dans les autres versions, Michel Bibard parlant de cette répression impitoyable, nous indiquait que c'était en Mai 1959.

       
  • Je rappelle aux Pieds Nickelés, que Robert Bonnaud, en 1962,
    nous avais déjà dans son livre, décrit les tortures à Guentis, en 1956, alors que son régiment le I/3e RIA, n'avait jamais quittait Chéria.
     
  • Les quarante soldats, issus d'un régiment d'appelés, qui s'etaient installé à Guentis, faisaient partie du 81e BI, qui était stationné à Chéria.
    Ils seront à Guentis, en Septembre 1957.


  • L’Enfer du poste de Guentis en Septembre 1957.

    Algérie Guentis Les soldats du 81e B.I. en 1957

     
  • Premier mensonge de M. Michel Bibard :
     
    • Dans sa première phrase, M. Bibard nous ment déjà :
       
        « Où, mon ami, M. de R. était en poste après un autre sous-lieutenant appelé, G., qui y avait laissé le souvenir d’une brute ivrogne... »
         
    • Michel de Robien avait écrit :
       
        « Le commandant des Affaires Algériennes du Secteur de Tébessa,
          demande à la Direction de Bône de lui affecter un cavalier pour créer le P.M.G. (Peloton Monté de Guentis) »

         
    • Donc, avant il n'y avait pas de P.M.G., donc pas de prédécesseur.
       
    • Je n'ai pas trouvé de trace de l'amitié, que semble nous faire croire M. Michel Bibard,
      il cite souvent dans ces récits, les phrases qu'aurait prononcé M. Michel de Robien, nous y reviendrons plus loin.
       
    • La seule similitude que j'ai trouvé, c'est qu'ils sont passés tous les deux par Fontainebleau.   Et c'est tout.

     
  • Deuxième mensonge de Michel Bibard :
     
          « Ce poste isolé avait tellement mauvaise réputation ..
            Le climat d’horreur était dû aux souvenirs sanglants qu’y avaient laissés deux rébellions du contingent,
            très majoritairement composé de F.S.N.A., et les répressions impitoyables qui s’étaient ensuivies.
            Un témoin : « on en pendait partout, par le cou ou les pieds. »

           
    • Revenons sur le récit de Michel de Robien concernant cette répression impitoyable :
       
          « J’embarquai enfin dans le convoi qui assurait la relève du poste de Guentis.
            C’est alors que j’apprenais que cette relève s’effectuait avec une compagnie de tirailleurs qui avait manqué déserter
            lors de son précédent séjour, trois mois avant ! »

           
      • Des désertions de FSNA, il y en a eu, surtout en 1955 et 1956,
        on peut, facilement le comprendre, mais quand on regarde les chiffres, c'est l'inverse qui est démontré, surtout après Juillet 1957.
         
        • 22e RTA était dans le Constantinois, et un bataillon dans le secteur de Tébessa.
          Je n'ai trouvé aucune trace du passage d'une section à Guentis.
          Mais, on manque d'information concernant ce bataillon.
           
          • En juin 1954, 22e R.T.A. quitte l'Indochine pour le Maroc, puis pour la France.
          • En Juillet 1957, seuls le premier et le troisième bataillons seront désignés pour l'Algérie, direction le Constantinois.
          • Le II/22e RTA est dissous en France en Mai 1958.
          • Le 1er Novembre 1958, il devient le 22e régiment de tirailleurs.(suppression du qualificatif algériens et Tunisiens).
             
      • Aucun trace de massacre à Guentis, en Mai 1959, ni même pendant tous les événements.

         
  • Je passerai rapidement,
    sur le mensonge concernant son voyage en avionnette, de Tébessa à Guentis, et son atterrissage sur la piste encombrée de moutons.
     
  • Je signalerai simplement à ce menteur, que Morsott avait une petite piste, comme nous l'indiquait le pilote attitré des mines de phosphates.
     
          « Le 31 janvier 1956, avec les responsables de l'Aéro-club et un administrateur, nous allons à Bône...

            Lorsqu'on décolle de Tébessa vers Bône,
            on prend un cap Nord-Nord-Ouest qui, dès le départ vous fait survoler les contreforts du djebel Dhir.

            Après 10 minutes de vol, à la vitesse de 130 nœuds,
            nous survolons l'important village de Morsott, où, l'on est en train de construire une petite piste.»

           
      • Oui, nous sommes bien en janvier 1956, soit plus de quatre ans, avant son voyage en « avionette ».
         
      • Dans ce livre, nous avons une carte des liaisons
        au départ de Tébessa pour l'Année 1957, sur cette carte figurent, Morsott, Le Kouif, Youks les Bains et Guentis.
         
  • C'était juste un petit point d'histoire.

     
  • Le paragraphe suivant, nous décrit les mêmes personnages que dans le récit de M. Michel de Robien, mais, avec une petite différence.
     
        « Un de mes prédécesseurs à Guentis avait, dans le meilleur des cas, « disjoncté ».

          Bibliothécaire, père de famille, il était devenu, dans le contexte historique de ce poste dangereux, une sorte de satrape fou,
          le crâne rasé, moustache énorme, il s’amusait à passer ses propres hommes à la « gégène » , et à s’y faire passer aussi,
          pour en évaluer l’effet. »

         
    • Dans sa version de juin 1978, parue dans les colonnes de la revue l'Esprit, il nous avait parlé de :
       
          « Je pense à X, bibliothécaire, marié, deux ou trois enfants.. »,
           
    • Sans jamais citer le poste de Guentis, mais dans la version du 28 Déembre 2013, X est à Guentis.
       
    • La SAS de Guentis n'a connu d'un seul et unique chef de SAS, le Lieutenant Pentecôte, qui arriva en Avril 1958 et qui y restera jusqu'au bout.

       
  • Pour bien démontrer aux lecteurs de son article,
    qu'il avait été à Guentis, il nous gratifie d'une magnifique photo d'un hélicoptère Vertol H-21, avec la légende suivante :
      « La SAS de Guentis, très isolée, était ravitaillée par hélicoptère. »
       
    • Mais, pas de chance pour notre affabulateur, car le H-21 ne ravitaille pas le poste comme, il nous l'indique.
       
      • Cette photo a été prise en février 1959.
      • Elle montre l'installation des réservoirs métalliques pour l'adduction d'eau.
      • Cette opération a permis d'alimenter en eau, le poste et les mechtas.
         
    • Encore un gros mensonge de votre cher agrégé.
       


  • Guentis : Installation des réservoirs métalliques pour l'adduction d'eau. Février 1959.

    Algérie Guentis réservoirs métalliques pour l'adduction d'eau Février 1959

     
  • Parmi les inepties de ces divers récits, j'en terminerai avec ces deux anecdotes :
    • Monsieur l'Agrégé écrivait dans la section SAS de Guentis :
       
          « Un jeu avait consisté aussi, pour des artilleurs,
            à régler leurs tirs sur les belles ruines d’un arc de triomphe romain, dans ce pays desséché qui avait été le grenier à blé de Rome.... »

           
      • Bien entendu, les anticolonialistes ne donnent jamais le régiment, mais pour les Pieds Nickelés, je vais l'indiqué :
        • Du 19/8/1959, au 15/2/1962, le 457e GAA, est engagé dans les régions de Chéria, Telidjene et Guentis.
        • Le 1/4/1960, le 457e GAA change d'appellation, il devient le 457e GAAL.
           
        • Dans les JMO du régiment, nous retrouvons :
          • Que artilleur Wurry Antoine est mort à Guentis, le 06/09/1959, pas de détail sur la nature du décès.
          • Que le médecin-lieutenant Villaret, était rattache au 457e GAA, mais détaché en tant que médecin, au Peloton Monté de Guentis.
          • Que bien avant le 19 Mars 1962, date fétiche de la FNACA, certains lieux avaient été désertés par l'armée,
            mais, ce n'est pas une surprise !
             
      • Mais revenons à notre agrégé, et à nos ruines romaines.
         
          • Il n'y avait pas de ruines romaines, visibles du poste de Guentis,
            « les belles ruines d’un arc de triomphe romain », n'était d'une tour romaine située à l'entrée du défilé de l'oued Hallaïl.
          • La vallée de l’oued Hallail, était située entre Djeurf et Ain Mdila (versant sud des Nemenchas), c'est à dire au nord de Ferkane.
          • Sans commentaires.

             
    • Etant à Guentis en Juillet - Août 1960, notre agrégé prétendait :
       
          « Pour jouer le jeu de l’héroïsme infantile, j’ai accepté d’aller par la piste,
            avec mon voisin le lieutenant commandant le poste, de Guentis à Tébessa, première agglomération à quelques heures de route.
            Il mettait son point d’honneur à passer en tête du convoi avec la Jeep, moi assis à côté de lui bien sûr. »

           
      • On sait maintenant, qu'il n'a jamais mis les pieds à Guentis, mais voici un récit qu'il n'aurait pas pu ignorer :
         
        • M. Michel de Robien écrivait :
           
              « Durant cet été, on a refait la piste qui nous reliait à Chéria, ce qui nous a valu quelques nuits à la belle étoile pour assurer
                la protection du matériel de travaux publics qu’il n’était pas question de ramener à Guentis en fin de journée.

                L’été finissait, le moment de l’achaba, la transhumance annuelle vers le sud, arrivait..
                Le spectacle était digne d’un film de Cecil B. De Mille.
                Vingt mille moutons, mille ou quinze cents chameaux, sans compter les chevaux, les ânes et les mulets,
                quelque huit cents familles enfin se trouvaient rassemblés au pied de la SAS.
                Cette population était acheminée vers le sud en trois caravanes échelonnées sur trois jours. »

               
        • Et, oui, en juillet Août 1960,
          le génie a refait la piste reliant Guentis à Chéria,
          et, dans la même période, ouvert une piste entre Ferkane et Guentis, c'était la 4eme du 42 Bataillon du Génie.
           
    • Quel affabulateur ce Michel Bibard.


  • Le marché hebdomadaire de Guentis en 1958.

    Algérie Guentis le marché de Guentis 1958

     
  • Postface :

     
  • Je pourrais encore, sur plusieurs pages, dénoncer les élucubrations de M. Michel Bibard, mais comme dirait un certain Jaurès, il savoir arrêter ....
     
  • Pour lui c'était la grève, pour moi, c'est cette page, mais, j'avais écrit plus haut, que je reviendrai sur les phrases qu'aurait prononcées M. Michel de Robien.
     
    • Voici celle de la postface :
       
    • M. Michel Bibard écrivait dans : Guentis, dérive d’une SAS vers le pire.
       
          « On a un jour attrapé un » suspect », en bordure de zone interdite et ce chef de S.A.S. a passé des heures à « l’interroger » :
           
            il s’est soûlé toute la nuit, assis sur le suspect, qui est mort au petit matin étouffé sous ses grosses fesses.
            Ce fait d’armes lui a valu la croix de la valeur militaire.

            Histoire rapportée par les attachés FSE que j’ai trouvés à Guentis.

            C’est peut-être en pensant à lui que M. de R. écrira, des années plus tard, dans une postface au témoignage d’un officier méhariste appelé,
            que l’armée française avait en Algérie employé des méthodes nazies.

            R. est dans ce texte très lucide et catégorique sur les causes de la guerre, bien qu’il affirme par ailleurs que sans la trahison de De Gaulle,
            si nous étions restés dix ans de plus nous aurions construit une Algérie française prospère et juste. »


           
    • Il n'y a jamais eu de postface, ni même de préface, écrite par M. Michel de Robien.
       
    • Mais il y a bien un livre sur un Méhariste, le titre : Méhariste au Niger, souvenirs sahariens.
       
    • Il y a aussi une préface, mais elle est du Général Jacques Massu :
       
          « Les souvenirs de Robert Le Roy, lieutenant méhariste de 1955 à 1960 dans le Niger-Est, soit juste avant l'indépendance,
            sont intéressantes à plus d'un titre.

            Ils constituent un dernier témoignage de l'existence austère mais passionnante, menée au Sahara par des générations d'officiers
            de haute valeur, qui s'y sont formés et auquel se réfère souvent Théodore Monod dans ses ouvrages..... »

           
    • Sans commentaire.

       
    • Je laisse les lecteurs méditer sur cette dernière élucubration de notre adjoint au chef de SAS de Morsott.


  • Les hommes du 81e B.I. en 1957 à Guentis.

    Algérie Guentis les hommes du 81e B.I. Guentis 1957