Le procès de Maurice Papon, commence le 8 octobre 1997,
et, à la demande des parties civiles, le jeudi 16 Octobre 1997, l'affabulateur, le menteur, et le falsificateur, Jean-Luc Einaudi, est à la barre.
Extraits des minutes du procès.
« Le 17 octobre 1961 et les jours suivants, en plein Paris, la police française commit, avec une violence inouïe, un véritable massacre de manifestants algériens entièrement pacifiques.
C’est sous les ordres de Papon que ce massacre au faciès eut lieu, et, ce dernier ne fit rien pour l’empêcher, ni pour l’interrompre.
Des agents tuèrent en effet, au pont de Neuilly, au pont Saint-Michel, sur les Grands Boulevards, au Palais des sports de Versailles, au centre d’identification de Vincennes et dans bien d’autres lieux de la banlieue parisienne.
Des jours durant, la Seine et les canaux charrièrent des cadavres d’Algériens morts par balle, par strangulation, par pendaison, par noyade ou des suites de matraquage à coups de crosse ou de bidule.
C’est le même Papon, qui inventa la version outrageusement mensongère, défendue bec et ongles par le gouvernement Debré, restée officielle jusqu’à ce jour de 1997, et soutenue la veille encore devant cette cour, selon laquelle il n’y aurait eu que deux morts algériens. »
Jean-Luc Einaudi, reprenant les conclusions de son livre, évalue le nombre des victimes de la police, ce jour-là, à un minimum de 200 morts, vraisemblablement autour de 300.
Etrangement, le 17 Octobre 1997, France deux, au JT de 20 heures, nous présente un reportage sur le 17 Octobre 1961.
Le générique du reportage de JT de Antenne Deux du 17 Octobre 1997.
Mais, Antenne 2, était en quelques sortes le précurseur des J.T, de ce mythe des 200 ou 300 noyés.
En Novembre 1981, Patrick Poivre d'Arvor, ouvre le JT d'Antenne 2, sur un petit reportage de Marcel Trillat, sur le 17 octobre 1961.
Le journaliste communiste Marcel Trillat, nous raconte, que ce fut un massacre.
Le 17 octobre 1991, cette même antenne, nous présentait un reportage sur la date anniversaire de cet évènement ( 30 ans).
JT Antenne 2 du 17 Octobre 1991.
Beaucoup plus sobre, que celui du 17 octobre 1997, un simple rappel de bilan officiel, et celui donnait par le FLN : 200 morts et 400 disparus.
C'est la journaliste Isabelle Staes, qui commente ce reportage.
Il ne faut pas rêver, le reportage commence par le témoignage d’un Algérien, Saad Ouazene, qui nous indique, qu’il a été matraqué, presque à mort, dans les escaliers du métro Concorde, il affirme, que dans ces mêmes escaliers, il y a eu des morts !!!!!
J’ai déjà décrit, avec moult détails, les acteurs de cette mise en scène de notre jeune journaliste Isabelle Staes, je n’y reviendrais pas.
Allons directement au bonimenteur, le policier Paul Rousseau.
Notre journaliste, Isabelle Staes, monte d'un ton :
« La chasse au faciès est ouverte »
Elle nous ressert la rafle du vel'd'hiv en 1942, nous avons droit à une des photos de la rue des pâquerettes, prisent le 18 Octobre 1961, par le faussaire Elie Kagan.
Elle affirme :
« Pour certains, la manifestation se termine sur la chaussés, ou dans la Seine. »
Arrive la séquence du policier Paul Rousseau qui affirme :
« certains ont été balancés du pont de Clichy »
Isabelle Staes, interroge, le bonimenteur, en lui posant cette question :
« Et les policiers, quand ils sont revenus après avoir jeté dans la Seine les algériens qu'ont-ils dit ? »
Et, le bonimenteur Paul Rousseau, sans trembler, répondre, ils m'ont dit :
« on les a eu, nous avons du sang sur les mains. »
Le bonimenteur Paul Rousseau sur le 17 Octobre 1961 à Clichy.
Intéressons-nous à ce menteur professionnel, sans aucun doute communiste.
« Certains ont été balancés du pont de Clichy. »
Ayant un doute, sur ce nouveau massacre du Pont de Clichy, je relis tous les articles, de tous les journaux, pour ce mois d’Octobre 1961.
Rien sur le Pont de Clichy.
Pourtant, notre futur président/motard, le 17 octobre 2011, est venue faire la génuflexion sur le Pont de Clichy, pour demander pardon au 200, 300 ou 500 noyés algériens, que l’on a jamais retrouvés, en présence du Secrétaire d’état Algérien, chargé de la communauté nationale à l’étranger, M. Halim Benatallah.
François Hollande a déposé une gerbe, en présence de l'historien Benjamin Store et de son conseillé Faouzi Lamdaoui, il était accompagné par les deux maires PS, M. Gilles Catoire pour Clichy la Garenne, et M. Sébastien Piettrasanta pour Asniéres sur Seine.
Il semblerait que notre bonimenteur Paul Rousseau était lui aussi présent sur ce pont. Il sera décorait de la médaille d’honneur de la ville de Clichy, et de la médaille du mérite Algérien.
Un Algérien, membre du FLN, arrêté le 10 janvier 1958, M. Mohamed Ghafir, a également était décoré par le maire de Clichy, ce jour-là.
M. Ghafir, nous a fait l’honneur, de nous donner une version très spéciale, de ce massacre virtuel du 17 octobre 1961, où, étrangement, on ne retrouve pas le massacre du bonimenteur Paul Rousseau.
Compte tenu de la reconnaissance officielle, du futur président de la république française, M. François Hollande, de cette mascarade du 17 octobre 2011, prochainement, Ghafir Mohamed, aura droit à une page sur web, dans laquelle, je démontrerai, qu’il ne pouvait pas être présent, le 17 octobre 1961, et que tous ses récits de ces deux journées de manifestations, sont une pure invention de sa part.
Alors, qui est ce Paul Rousseau !!!!!
Témoin d'un massacre d'Etat sur le pont de Clichy, le 17 octobre 1961.
Voici, la chronologie des étapes les plus significatives, qui nous mènerons, de plusieurs manifestations, certes réprimées, qui ont fait un seul et unique mort, français de surcroit, Guy Chevalier, le 17 octobre, et de trois morts, le 18 octobre, à Nanterre, deux morts, le jour même, et le troisième, blessé par balle, qui décédera en décembre 1961, à un bilan, allant de plusieurs dizaines, à plus de 200 morts Algériens, jamais retrouvés.
En 2022, le cabinet du Président d'Emmanuel Macron, donne officiellement le chiffres de 120 morts algériens, qui ne seraient par mort, le 17 octobre 1961, mais durant les mois de septembre, octobre, novembre et décembre 1961.
Chronologie :
1959
Octobre :
Le comité de coordination pour la défense des libertés et de la paix, le comité maurice audin et le Secours populaire Français, publient une brochure intitulée : Algérie 1959.
Après les éternels actes de racismes et de sévices des colons, nous avons un chapitre intitulé : Quand la torture passe en métropole.
Dans le paragraphe : « Dans la région parisienne », après la description des tortures et massacres à Argenteuil, nous avons pour la ville de Versailles, le témoignage d'un Mohamed Lounes, torturé par les policiers de Maurice Papon, qui déclare que son cousin, a été suicidé le 20 décembre 1958, par cette même police.
Il demande à son avocat, Maitre Vergés, de retrouver l'article du journal, indiquant que son cousin s'était pendu avec sa ceinture, alors qu'il était placé en « chambre de sûreté ».
1961
Juillet :
Les Harkis à Paris, dossier présenté par Paulette Peju.
Octobre :
Le 30 octobre 1961, l'Union Régionale Parisienne de la C.F.T.C., nous présente : Face à la répression, un brulot de dix-huit pages, contre Maurice Papon et la police parisienne.
C’est en page dix de ce tract, que la CFTC, nous indique les responsables des « meurtres » Algériens :
« C’est donc au niveau du Préfet de police, du Ministre de l’Intérieur, du Gouvernement et de la Présidence de la République, qui assume tous les pouvoirs, qu’il faut situer la responsabilité de meurtres, nombreux, d’avant les manifestations du 17 octobre. »
La page douze, nous décrit les sévices et les assassinats d’algériens par la police.
Novembre : Ratonnades à Paris, dossier présenté par Paulette Peju.
Extrait de la page douze du tract CFTC du 30 octobre 1961.
1972
Vidal-Naquet, avec , « Le pogrom anti-algérien du 17 octobre 1961 », et l'assassinat de 50 algériens dans la cour de la préfecture en présence du préfet Maurice Papon !!!
1973
Vidal-Naquet récidive, avec un film sur le 17 octobre 1961.
1980
Le journal Libération et son titre : « Massacre raciste en plein Paris », la cible de l'article est Maurice Papon.
1981
Le Journal Libération récidive
Le 17 octobre 1981, Patrick Poivre d'Arvor ouvre le journal d'Antenne 2, sur un reportage de Marcel Trillat, sur le 17 octobre 1961.
Le journaliste communiste, nous raconte que ce fut un massacre.
Son discours était accompagné par quelques photos d'arrestations et de transport par bus des Nord-africains.
Il conclut son reportage, par la similitude de cet évènement avec la rafle de Vel' Hiv de 1942.
Son court reportage, se termine par la fameuse photo d'Elie Kagan, prise le 18 octobre rue des Paquerettes et usitée par tous les communistes de la planète, y compris notre prophète Benjamin Stora.
Le mythe du massacre était en route !!!!
Photo dans le JT de Patrick Poivre d'Arvor sur d'Antenne 2, en Novembre 1981.
1985
Michel Levine et Les ratonnades d'Octobre.
Dans son livre, Michel Levine, nous parle du journal Vérité-Liberté, édité par Vidal-Naquet, le numéro 13, daté du 13 novembre 1961, qui contenait le témoignage d’un gardien de la paix, en service, ce soir-là à la caserne de la Cité.
Les fameux 50 morts-noyés, de la cour d’isolement de la Cité, de Claude Bourdet.
Pas la moindre ligne sur le policier Paul Rousseau, et le massacre du Pont de Clichy !!!!
Ce n'est pas, Jean-Luc Einaudi et son bouffon, Didier Daeninckx, qui ont mis en avant, le suicide de la jeune Fatima Bedar, transformé en meurtre, par un des responsables de la Ligue des droits de l'Homme, j'ai cité Michel Levine.
1988
Einaudi Jean-Luc, le titre « Un jour d'Octobre à Paris. » et la tombe de la petite Fatima Bedar.
Dans ce livre, nous avons :
19 heure Pont de Clichy, le gardien de la paix, Paul Rousseau est dans un car :
« J'ai vu des policiers de la police parisienne, jeter par-dessus le pont des Algériens, systématiquement les frapper à coups de matraque, à coup de nerfs de bœuf, à coup de crosse de pistolet. Certains ont tiré dans tas et les ont balancé par-dessus le pont. »
1994
Brigitte Gaïti Les ratés de l'histoire. Une manifestation sans suite : 17 octobre 1961 à Paris
1998
Le rapport Dieudonné Mandelkern
1999
Le rapport Jean Géromini
1999
Brunet Jean Paul, le titre : « le racisme dans la répression policière des manifestations algériennes à Paris en 1961. »
« Le témoignage de Gérard Monate est térrifiant. L'ancien responsable du SGP, nous indique que, dans la soirée du 17 octobre, il a vu au Pont d'Asnières, le conducteur et des passagers descendre d'un autobus pour prêter main-forte à des policiers et jeter des Algériens à la Seine.
La violence, insiste-t-il a été générale, et il ne faut pas la cantonner aux lieux de la manifestation proprement dite »  
Entretien du 14 Avril 1999.
Notre futur président/motard, le 17 octobre 2011, sur le pont de Clichy.
Les quatre Pieds-Nickels ne savent peut-être pas, qu’ils sont sur un pont construit en 1975 !!!
Jean-Paul Brunet changera son fusil d’épaule en s’attaquant directement à Jean-Paul Einaudi, en 2001 et 2003, au travers de ses deux livres :
Police contre FLN Le drame d'octobre 1961, en 1999.
Charonne, lumière sur une tragédie en 20003
Ayant consulté les archives de la police, dans ces deux livres, il démontrera que le chiffre de 393 victimes de la police parisienne, donnait par Einaudi, ne repose sur aucune preuve historique.
il mettra en doute les déclarations du policier Paul Rousseau, en précisant que Rousseau parlait peut être du pont de Neuilly, et non pas du pont de Clichy, où aucun événement n’a eu lieu pendant ces trois jours de manifestation.
Concernant les noyés disparus, il cite les barrages de Suresnes, Chatou, Bougival.
« Ces barrages sont des dispositifs métalliques dont la hauteur est modulable en fonction du niveau du fleuve. Ils arrêtent automatiquement les objets volumineux. Il eût donc fallu que les cadavres passent par les écluses. »
Une simple photo d'un des barrages, montre que le cours du fleuve entraine les objets volumineux vers les barrages.
Il faut remonter le cours du courant pour entrer dans les écluses !!!!
Je suis toujours étonné, que les femmes ou hommes politiques et les juges n’aient pas compris ce simple principe.
Il a tenté de joindre le bonimenteur mais sans succès, il aurait aimé lui posé la question suivant :
« Comme expliquer, étant donné la disproportion des forces en présence, pourquoi le commissaire Mézière avait laissé un groupe de policiers en réserve dans un car.. »
Mais il a surtout recherché dans les archives, le dossier sur la petite fatima Bedar, et le PV déposé le 18 octobre 1961, au matin, dans lequel le père de la petite fatima, déclaré qu’elle n’était pas rentrée du collège, le 16 octobre 1961, au soir, et qu’elle s’était suicidé, suite à une divergence avec sa mère.
Trois copines de collège et une maitresse confirmeront son envie de suicide.
Retour vers l’Algérie On peut constater que les algériens ne sont pas couvert de bandages, ils ont l’ait plutôt en forme. !!!
Pour savoir si le bonimenteur, le policier Paul Rousseau était bien dans un car près du pont de Clichy, ce 17 octobre 1961, à 20 heures.
J’ai donc effectué des recherches sur le dite Pont, celui qui reliait les villes de Clichy la Garenne à Asnières sur Seine. En 1961.
Le pont fut mis en service le 15 Août 1869.
Il figure, en partie sur plusieurs chef-d ’œuvres du peintre Van Gogh, ces toiles datent de 1875.
Sur une des toiles du peintre, on voit la première arche du pont, qui en comprenait trois, celle qui part d’Asnières et aboutissait sur l’ile des Ravageurs.
On y voit deux magnifiques maisons qui ont une vue imprenable sur le pont de Clichy, enfin celui de 1872, pas celui, où c’est prosterné le futur président François Hollande.
Une seconde toile réalisée sur ce pont, nous montre les deux maisons qui ornaient le pont, une des arches du pont, et l’ile des Ravageurs, d’où cette toile a été réalisée, la végétation était luxe souriante.
La deuxième arche de ce pont, relie l’ile des Ravageurs, à l’ancienne ile de Robinson, pas celle d’aujourd’hui.
Enfin, le troisième tronçon partait de l’ile Robinson pour aboutir sur les berges de la rive coté Clichy.
Le pont de Clichy Rive d'Asnières sur Seine, Van Gogh 1875.
Les caractéristiques de ce pont étaient les suivantes :
Longueur totale du pont 368 mètres.
Chaque arche a une portée de 75 mètres.
On peut déjà se pose la question, comment dans son car, le policier Rousseau, pouvait-il voir l’autre côté de la rive distante de 368 mètres.
Car quand on relie ses diverses interviews qui a donné, il affirme avoir vue les Algériens descendent du bus, coté Asnières, sans armes, c'est à dire, les mains vides. !!!!
En 1961, les trois bras de la Seine, qui passaient sous le pont de Clichy, mesurés, moins de 195 mètres, ce qui veut dire que 175 mères de ce pont reposés sur de la terre ferme.
Si on tient compte, de l'entrée monumentale du cimetière des chiens, sur ile des Ravageurs, des bâtiments, dont les derniers étages, et les toits étaient bien au-dessus du pont, sur l’ile de Robinson, il aurait fallu à la police parisienne ou à la compagnie de sécurité, suivant les versions du bonimenteur, pour jeter les corps des Algériens dans les trois bras de Seine, se positionner juste au-dessus, de ces trois bras, et non pas sur les deux iles.
Si on y ajoute l'heure, d'après Jean-Luc Einaudi, 20 heures, la pluie, et oui il pleuvait ce soir- là, la disposition des rampes d'accès sur ce pont, coté de Clichy, on se dit que
le Bonimenteur Rousseau, avait une très très bonne vue.
Si on ajoute à cette description, l'immense Ile de Saint-Denis, le barrage et l'ile de Chatou, le barrage de Bougival, le barrage d'Andrésy, le barrage Méricourt, le barrage Notre-Dame-de-la-Garenne, le barrage Poses-Amfreville-sous-les-Monts, on est en droit de se demander comment tous ces Algériens tués sur le pont de Clichy, par la police de Papon, ont-ils pu rejoindre, Rouen ou, Le Havre et la haute mer.
Lors du procès Papon, le faussaire, Emile Portzer, créateur du trac des Policiers Républicains, du 31 octobre 1961, déclarait :
« Ce sont une dizaine de copains résistants du SGP qui m'ont donné ces témoignages, et m'ont fait des rapports.»
Pourtant dans ce tract, on ne trouve aucune trace de ce massacre sur le Pont de Clichy !!!!
La prochaine étape, des communistes, c’est le massacre d’Etat contre ses pauvres Algériens victimes des méchants policiers de Maurice Papon.
Le pont de Clichy en 1952. .
Cette photo prise par armée américaine en décembre 1952, nous montre, l’impossibilité de pouvoir apercevoir l’autre extrémité du pont, à partir des rampes du côté de Clichy la Garenne, compte tenu des constructions sur l’ile de Robinson, et de la végétation luxe-souriante de l’Ile des Ravageurs.
Lors du conseil général de la Seine, le 10 Août 1952, le conseiller général, M. le docteur Huet demande à M. le Préfet de police, la présence de deux agents de police, afin de réguler le trafic aux croisement du pont de Clichy et des quais de Clichy, côté Clichy, et des quais du Docteur Dervaux et du boulevard Voltaire,coté Asnières, suite à l’augmentation du trafic automobile, depuis la création du port de Gennevilliers.
Réponse du Préfet.
Installation sur les croisements d’une signalisation lumineuse, et présence permanente, en attendant la dite installation lumineuse, d’un agent de police de 8h à 22h. .
Pont de Clichy Ile des Ravageurs 1958
Epilogue.
Le 24 avril 1962.
Le journal Le Monde titrait :
Les corps des enfants disparus d’Asnières repêchés dans la Seine.
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Le Mardi 9 octobre 1962.
Une projection du film, « Octobre à Paris » est organisée par le ciné-club Action, à l'issue de la projection, le film est saisie.
Les « parrains » de ce film, sont le comité Maurice Audin, et, la revue Vérité-Liberté, le réalisateur est le communiste Jacques Panijel.
Le journaliste ayant assisté à cette projection, nous précise :
« Les auteurs de ce film, ont « reconstitué », la cellule FLN qui diffusa les mots d'ordre. Les témoignages d'Algériens, nous donnent la liste des sévices et tortures qu'ils ont subis de la part de la police parisienne et des harkis. L'un d'entre raconte comment, considéré comme mort, il fut jeté dans la Seine, près du pont d'Alfortville.
Le films se termine par des images de la manifestation de février 1962.. ».
Pas la moindre allusion, au massacre du pont de Clichy, du bonimenteur Paul Rousseau et consort.
Encore un nouveau pont, pour nos deux Présidents, celui d'Alfortville, peut-être qu'en 2026, avant les élections, le futur candidat de gauche, ira se prosterné, sur ce nouveau pont.