- L'ouverture du bal est effectuée par le ministre de l'information du GPRA, M. M'Hammed Yazid.
- C'est dans un communiqué de Tunis, daté du 22 Octobre 1961, que le ministère de l'information du GPRA,
lançait les 150 premiers morts.
- Je cite M. Yazid :
« On assiste à des arrestation massives d'Algériens par dizaines de mille.
Jamais, pas même sous l'occupation nazie, il n'a été donné de voir un aussi grand nombre d'arrestations ...
Le nombre des victimes qui nous est parvenue est de 50 morts.
C'est un premier chiffre, mais le chiffre réel est certainement beaucoup plus élevé,
il y a des centaines de disparus algériens, dont on retrouve les corps au fond de la Seine,
dans un fossé de la région parisienne, ou, un charnier comme à Puteaux.
Il existe des centres de tortures en plein Paris.
».
Note :
Dans ce tissu de mensonges, on a tous les ingrédients qui vont permettre à certains collabos du FLN,
de faire miroiter, le mythe du massacre de plus de 200 Algériens, le 17 octobre 1961, et obtenir,
cinquante ans plus tard, la repentance du Président de la République, M. François Hollande,
et, de son successeur M. Emmanuel Macron.
Notre futur président/motard, le 17 octobre 2011, sur le pont de Clichy.
Mais, François Hollande ne sait pas que le pont où il se prosterne, n’est pas le bon
- Mais, M. M'Hammed Yazid n'était pas le seul à hurler au massacre,
- Le journal Libération, dès le mercredi 18 octobre 1961, annonçait plus de 10 morts, et commençait a parlé de répression raciste.
- Le 19 octobre, le communiste Jacques Duclos entrait sur la piste de danse.
- Le 27 octobre 1961, Claude Bourdet, nous récite la litanie des massacres de ce 17 octobre 1961.
« Est-t-il vrai !!!!
Que les cars-radio de la police aient annoncé dix morts parmi les forces de l'ordre.
Que des blessés et des morts ont été atteints par des balles tirées à bout portant.
Que dans la cour d'isolement de la Cité, une cinquantaine de manifestants arrêtés aux alentours du boulevard Saint Michel sont morts.
Et que sont devenus leurs corps ?
Qu'il y a eu de nombreux corps retirés de la Seine. Dans les milieux de la presse, et non de la presse de gauche,
mais dans les rédactions de journaux d'information, on parle de 150 corps retirés entre Paris et Rouen.!!! »
- Oui, les forces de l’Ordre ont matraquées des manifestants, mais, matraquer n’est pas tuer.